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 « Go to the neige ! » Florent & Céleste

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Louis T. Delmas
Louis T. Delmas
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« Go to the neige ! » Florent & Céleste Vide
MessageSujet: « Go to the neige ! » Florent & Céleste   « Go to the neige ! » Florent & Céleste Icon_minitimeSam 23 Nov 2013 - 18:35




« Go to the neige ! »

 Flo’ et Céleste au skiiiiiiiiiiiiiii ! « Go to the neige ! » Florent & Céleste 3651462228 En même temps que beaucoup d’autres gens d’HB, parce que monsieur Osvald avait été incroyablement gentil en nous réservant un immeuble rien que pour nous près d’une station de ski trop classe qui ferait le bonheur de tout le monde. Alors inutile de vous dire que je n’avais pas hésité une seconde à y aller, parce que y’avait de quoi passer de superbes vacances de Noël, avec tout ça. Surtout que je partais avec ma chérie et que rien que cette idée m’emballait grave ! On vivait plutôt bien notre petite vie de mariés, même si là, avec les études, rien ne changeait vraiment à la situation avant notre mariage. Sauf qu’en cours, les gens s'étonnaient beaucoup de me voir avec une alliance, puisque ce n’était pas très fréquent qu’un étudiant se marie avant d’avoir fini ses études. Dans notre cas, tout avait été très vite mais c’était le bonheur total avec elle alors je m’en fichais bien du regard des gens, surtout qu’au fond, ils étaient tous jaloux de la relation qu’on avait. J’en suis sûr ! D’ailleurs, je souhaitais à tout le monde d’avoir une vie comme la mienne parce qu’elle était parfaite aux côtés de ma crevette, de mes amis et de ma famille et j’avais absolument  tout ce qu’il me fallait. Tout n’était pas rose tous les jours, certes, mais toutes les journées de bonheur à l’état pur écrasaient celles où ça allait moins bien, et il n’y en avait vraiment pas beaucoup. Donc oui, j’étais sûrement l’homme le plus heureux du monde. C’était même évident, puisqu’on ne pouvait pas être plus heureux que ça, à mon avis.

Nous étions partis de bonne heure le matin pour avoir quand même une partie de la journée devant nous en arrivant, après tout on comptait y aller doucement, surtout que Céleste ne savait pas skier et que donc il faudrait lui apprendre tout ça en détails avec la patience nécessaire. Eh oui, mes chers amis, moi, je savais skier ! Alors comme ça, ça vous étonne ? Oh et bien, lorsque je vivais encore sur Paris, nous étions partis au ski plusieurs fois, c’étaient d’ailleurs les seules vacances qu’on pouvait se permettre. C’est mon père qui m’avait appris ce sport en même temps qu’à ma sœur, et après quelques années, j’étais vraiment devenu doué. Enfin, c’est un grand mot, mais je me débrouillais, tout du moins. Je descendais la piste rouge sans problèmes et la piste noire en me taulant de temps en temps, si vous préférez. Mais en y allant doucement et en ne faisant pas trop de conneries, je parvenais quand même plus ou moins à gérer ma descente correctement. Enfin voilà, tout ça pour vous dire que j’allais essayer de donner des cours de ski à ma princesse tout comme je lui avais appris la guitare, et j’espérais passer un super moment avec elle mais aussi avec d’autres amis, éventuellement. Apparemment, Amrita y allait aussi, chose qui m’avait trop mis de bonne humeur parce que la petite Amri’, je l’adorais graveuh !

Enfin voilà, nous étions donc arrivés en milieu d’après midi, vers trois heures et Céleste avait conduit tout le chemin, vu que je n’avais pas encore le permis. Mais ça ne tarderait plus, en tout cas, puisque j’y travaillais ! Nous nous étions donc dirigés vers l’immeuble où nous avions loué un appartement et nous avions croisé quelques connaissances d’Etretat, que nous avions saluées avec bonne humeur. Un bref moment dans la chambre plus tard, j’avais proposé à Céleste d’aller boire un verre avant de passer à l’action, histoire que je lui explique quelques choses avant qu’elle se retrouve sur ses skis. Parce que bon, un minimum de préparation, s’il vous plaît ! Je ne voulais pas qu’elle tombe dès le début, même si c’était ce qui risquait d’arriver… Au début, j’étais souvent tombé sur les fesses, pour ma part, mais je n’avais jamais rien eu de grave. Non, je ne suis jamais tombé sur la tête pour être idiot comme ça, c’est naturel ! What a Face Nous avions donc rapidement trouvé un café à proximité de l’appartement et main dans la main, on s’y était rendus tranquillement, prenant bien le temps d’observer tout ce qu’il y avait à faire dans ce petit village bien sympathique.

Je tirai la porte du café et laissai Céleste passer devant moi, avant d’entrer à mon tour et de jeter un œil autour de moi. L’ambiance de malade qui y régnait ! Partout des gens en tenue de ski – comme nous deux, d’ailleurs – souriants et contents d’être là. Quelques familles avec des enfants, chose qui me fit légèrement sourire en repensant à la conversation qu’on avait eue avec Céleste à propos de ça et deux ou trois chiens qui accompagnaient leurs maîtres. Ah oui, d’ailleurs, j’ai oublié de vous dire ! Nous avions embarqué Choupi, aussi, vu que les animaux étaient autorisés et qu’il n’y avait pas moyen de la laisser à Etretat. Et puis je n’aurais voulu l’abandonner pour rien au monde, non plus ! Je repris la main de Céleste et l’emmenai vers une table dans un coin avec une banquette d’un côté et deux chaises de l’autre, m’asseyant sur la banquette, puis j’attirai ma brune vers moi et l’incitai à venir s’asseoir à côté de moi.

« Viens là, choupinette. » Tout sourire, je la pris contre moi et soupirai d’aise, avant de poser un baiser sur ses cheveux, caressant doucement son bras de ma main. « Alors, contente d’être là ? Ca a l’air géniaaaaaaaal, en plus y’a plein de copains et de copines pour Choupi ! On aurait dû la prendre avec nous What a Face»

Parce que oui, on avait laissé la petite husky à l’appartement, n’étant pas sûrs des endroits où l’on acceptait ou non les animaux. Maintenant au moins on savait et on pourrait éviter de la laisser seule trop longtemps. Parce que bon, déjà qu’elle ne pourrait pas venir skier avec nous… Nan mais vous vous imaginez le truc ? Bébé chien sur des skis ? Je souris légèrement à l’idée, puis fis mon grand retour à la réalité. Parce que là, dans ma tête, je disjonctais un peu, c’était sûrement la neige ! « Go to the neige ! » Florent & Céleste 337664734 Lorsque le serveur passa, je commandai un chocolat chaud et laissai Céleste faire son choix, puis, quand il fût parti, je jouai doucement avec ses doigts, effleurant l’alliance qui entourait l’un d'eux. Nos premières vacances en mariés, enfin, à part celles sur Paris. Je resserrai un peu mon étreinte sur elle et posai ma tête contre la sienne.

« A nous la neige ! » lui lançais-je joyeusement.    

La tenue de ski:


Florent & Céleste

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Alexandre L. Leroy
Alexandre L. Leroy
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« Go to the neige ! » Florent & Céleste Vide
MessageSujet: Re: « Go to the neige ! » Florent & Céleste   « Go to the neige ! » Florent & Céleste Icon_minitimeLun 30 Déc 2013 - 13:48




« Go to the neige ! »

ҩ
A nous la neige ! Flo' et moi avions opté pour une semaine de vacances à Noël, direction la montagne pour skier. Dans le fond, j'étais top contente de partir avec mon chéri, même si j'appréhendais un peu le ski. Je ne savais pas skier, et je n'avais sûrement jamais su skier. Tiens, j'aurais du demander ça à Louis, tiens... Il aurait su me répondre, il connaissait mieux mon passé que moi. Mais je n'y avais pas pensé, et puis tant pis. Bref, avec tout ça, j'étais super heureuse de partir avec l'homme qui partageait ma vie depuis le … mars deux-mille-treize. Depuis nous nous étions mariés, nous avions adopté un chiot, commencé à parler bébé. Et j'étais juste la plus comblée des filles. Pourtant, il n'était ni riche ni célèbre, aucun héritage conséquent. Il n'était pas non plus mannequin, avouons-le, même s'il était splendide et que je ne regardais pas les autres. Il n'était pas fichu de rester sérieux deux petites minutes. Mais... Il était doux, tendre, patient. Amusant, charmant, serviable. Il avait tout pour plaire, avec son caractère facile à vivre. Malgré son passé houleux, il continuait à raison de croire qu'il pouvait mettre une frontière entre hier et aujourd'hui pour passer outre ses expériences parfois mauvaises et déterminer son avenir sans s'y accrocher. Plus encore, il m'avait accepté avec mes défauts, avec mon histoire, il savait mes craintes et mes angoisses et faisait tout ce qui était en son pouvoir pour les effacer. Pas seulement les repousser, non. Les faire disparaître totalement avec toute la force de son amour pour moi. Comment ne pas être comblée par un homme pareil ? Flo' était juste parfait, voilà tout.

Avec tout ça, nous avions fait les bagages minimum, puisque j'avais une petite voiture, tout chargé, embarqué notre bébé chien et prit la route très tôt le matin, direction le ski. J'avais conduit tout le long du trajet, m'arrêtant régulièrement parce que sinon j'aurais pété les plombs. Bien entendu nous en avions profité pour sortir notre boule de poils aux yeux d'azur et pour nous embêter mutuellement, mon cher et tendre et moi, puisqu'il se tenait relativement tranquille pendant que je conduisais. Je profitais de ces moments paisibles pour parler avec lui avec un peu plus de sérieux que d'habitude, même si j'adorais mon petit mouton complètement déjanté qui partait en vrille tout seul. Quand on ne parlait pas, on chantait avec de grands éclats de rire sur les chansons de la radio. Ça m'évitait au moins de devenir folle avec cette interminable route qui me fatiguait comme pas possible. Mais finalement, nous arrivâmes à bon port sans trop de bouchons et autres ralentissements. J'étais rincée de ma route, il y avait de la neige partout, nous avions du chaîner pour monter en station mais nous étions arrivés. L'appartement était coquet et assez grand pour nous trois, au rez-de-chaussée, ce qui nous permettrait de sortir notre Choupi très facilement. Nous avions ensuite sorti les bagages, installé un peu notre petit coin de vacances. J'avais ensuite un peu somnolé dans le canapé, la tête posée sur mon chéri, avant que celui-ci ne propose d'aller boire un verre. Après m'être étiré, un grand sourire aux lèvres, j'avais accepté et enfilé ma tenue chaude pour le suivre de près.

Il fallait dire que ma main était tendrement glissée dans la sienne et que c'était dans la joie et la bonne humeur, même si j'étais un peu fatiguée. Je l'avais précédé dans le café, goûtant avec plaisir la tiédeur du lieu et la bonne ambiance qui y régnait. J'avançai, main dans la main avec mon amoureux, lui souriant sans me faire prier. Crevée mais heureuse. Je le laissais choisir la table que nous occuperions. Il s'installa sur la banquette et je m'apprêtais à prendre la chaise en diagonale par rapport à lui lorsqu'il m'attira sur la banquette. Dans une léger éclat de rire, sans me faire prier, je le rejoignis, me glissant avec un plaisir non dissimulé dans ses bras protecteurs. Nos doigts s'entremêlèrent et il posa un baiser sur mes cheveux. Le visage éclairé d'un sourire ultra-bright et ultra-joyeux, je me retournais un instant dans ses bras, l'écoutant, avant de l'embrasser, riant de nouveau légèrement. Je me réinstallais ensuite confortablement contre lui, sans nous donner l'air d'un couple se bécotant ouvertement dans un lieu public, ce n'était pas notre genre. Petits câlins, petits bisous, bref, nous étions sérieux. Je lui répondis enfin.

« Très contente d'être avec toi, en tous cas... Je sens qu'on va passer une superbe semaine, et l'idée me plaît trop trop trop trop ! » Je me fis oublier contre lui, respirant calmement. J'eus un sourire espiègle, même s'il ne pouvait pas le voir. « On saura qu'on peut la prendre, au moins... Pour la prochaine fois ! »

J'observais à la dérobée les gens. Il y avait assez peu de personnes qui s'intéressaient à un couple, mais les gens des tables proches nous observaient à la dérobée. Quoi, ils n'avaient jamais vu deux amoureux occupés de se câliner ? C'était carrément soft, hein... J'étais juste dans les bras de mon chéri, on papotait, un petit bisou volé par ci par là... Il ne fallait pas abuser non plus quoi. Nous étions capables de bien moins discrète, comme attitude. Enfin, nous étions deux jeunes qui s'aimaient à la folie quoi. Je leur adressais un sourire naturel, puisque de toute façon ça ne servirait strictement à rien de faire quoi que ce soit d'autres. Nous ne pouvions pas empêcher les gens de penser ce qu'ils voulaient. Il y avait juste deux filles, attablées plus loin, qui nous regardaient avec insistance. Elles ne s'en cachaient même pas, et visiblement leur sujet de conversation était mon alliance, que Flo' caressaient – s'en même s'en rendre compte, songeai-je, car c'était devenu normal. Cette fois-ci, ce n'était plus un sourire gentil que j'avais aux lèvres, c'était plutôt un air légèrement arrogant qui n'était pas dans mes habitudes. Il était à moi, rien qu'à moi, pour le mien et pour le pire, et j'en étais très fière. J'avais vingt ans, j'étais mariée, mais j'étais surtout la plus heureuse des filles de cette terre. Elles pouvaient parler autant qu'elles voulaient, ces deux inconnues, moi, je m'en fichais pas mal...

C'est l'arrivée du serveur qui me tira de mes pensées. Il eut le droit à un sourire débordant de gentillesse tant que je restais blottie contre mon époux. Si lui commanda un chocolat chaud, j'hésitais un peu avant de prendre un café noir et une gaufre à la chantilly, parce que je mourrais de faim. Nous la mangerions à deux, de toute façon, je le savais. Je le connaissais par cœur, mon petit mouton noir chéri d'amour. Lorsque le serveur repartit, il joua avec mes doigts, et ce n'était plus, en aucun cas, un réflexe, mais bien un geste réfléchi, et je souris. Je sentais la différence maintenant, il y avait quelque chose dans sa façon d'agir et... J'adorais, tout simplement. Lorsqu'il posa sa tête contre la mienne, je posais une main sur sa cuisse. Je ris légèrement à sa remarque, tournant mon visage jusqu'à avoir le visage près de sa nuque. Je me retins d'y poser un baiser, ne cherchant pas la provocation si jamais quelqu'un nous regardait nous bécoter, avant de lui répondre :

« Surtout, à nous la semaine entre amoureux... Pas de meilleurs amis pour nous faire sortir et rentrer à pas d'heure, pas de cours, pas d'enfants à garder... C'est juste parfait... »

Petit soupir d'aise de ma part. Je n'avais rien contre Alexandre, et Florent le savait très bien. J'avais eu du mal avec son meilleur ami au début, parce qu'il ne m'inspirait pas confiance, grand et fier, arrogant, tatoué sur tout le corps, avec un côté mauvais que l'on pouvait sentir, impulsif et fort. Il était, me semblait-il, à l'opposé de celui que j'aimais et l'avait en quelques sortes entraîné dans la rue, alors je m'étais méfiée, connaissant leur attachement mutuel qui les pousserait tous les deux à se protéger. J'en avais légèrement voulu à Alex lorsque Flo' s'était prit deux balles au braquage, puisque je n'avais pas pu voir ce qui lui était arrivé. Mais plus tard, quand j'avais su son état et sa motivation pour son coup d'éclat manqué – la belle Elisha – je n'avais plus su lui en vouloir, et petit à petit, je l'avais accepté. J'en venais même à l'apprécier, puisqu'il changeait à vue d'œil. J'avais eu de la peine pour lui lorsque les choses s'étaient gâtées avec Nina et j'avais ressenti cette tension à notre mariage. Pourtant, dans cette histoire, je ne prenais pas position. Je refusais de savoir, ça ne me regardait pas. Et tant que Flo' n'avait pas besoin de m'en parler, j'estimais que c'était tant mieux. Il n'était pas envisageable, pour moi, de prendre position, car je pourrais bien ne pas prendre la même que mon mari, et je ne voulais pas avoir de discorde avec lui pour cela. Après, s'il voulait mon avis... Je le lui donnerais. Mais visiblement, il avait déjà réglé cette histoire. Alex n'avait pas fait de vagues, s'enfermant dans sa position face à Nina, et Nina avait été remise en place par son frère, d'après ce que je savais. Incident clos. Bref, tout ça pour dire que c'était plutôt une petite remarque amusée qu'une critique.

Le serveur revint avec notre commande et déposa tout sur la table, l'addition avec. Ce n'était pas super cher, étonnamment, et tant mieux ! Je réglais rapidement l'addition, laissant un petit pourboire – pas trop petit non plus, quand même – avant de m'écarter légèrement de Flo', préférant lui faire face, pour le coup. Et puis au moins ça nous éviterait les accidents de boisson chaude... très peu pour moi l'idée de finir ébouillantée, ou pire, de l'ébouillanter ! Je restais néanmoins taquine et joueuse, puisque j'attrapais la cuillère et un morceau de gaufre rempli de chantilly avant d'aller en mettre un peu sur le nez de Flo' dans un sourire taquin avant de lui approcher de la bouche sans faire de conneries. Je le connaissais mon estomac sur pattes qui ne cuisinait pas ! Bon, et puis surtout, ce midi le repas avait été light... Sandwichs en route, ce n'était pas le top, hein... Et puis il fallait qu'il s'entretienne mon petit chéri, c'était une crevette dans son genre :face:Bon, d'accord, j'arrête les bêtises... La neige ça me réussit, vous ne trouvez pas ?


Céleste ҩ Florent