[Je fais ce sujet mais je répondrais seulement vendredi soir]

Les préparatifs étaient près. Tôt le matin, quand le soleil venait tout juste de se lever, un étalon faisait son entrée dans la cour de l’élevage, ou il était toujours. Un homme prit son temps et mit des protections à ce jeune étalon espagnol du nom de Falco. Dur, dur de lui mettre des protections quand il ne pensait qu’à une chose, changer de place. Il s’y était mit à plusieurs, un qui tenait le jeune cheval pour lui éviter les mouvements, un autre qui s’était mit au milieu de son ventre pour lui éviter de bouger et un autre qui mettait les protections. Une fois les protections misent, l’étalon fut marcher un moment avant de monter dans le camion, mais ce fut aussi tout une mise en scène. Car Falco posait seulement un antérieur sur la plate forme puis de suite après, il se cabra puis retomba lourdement sur le sol. L’homme qui le tenait fut tout de même surprit car il ne s’attendait pas du tout à ça, et puis la force de l’étalon par rapport à la sienne n’était pas comparable du tout. Le jeune cheval fut à nouveau marché, Falco ne marchait pas mais danser tout ce qu’il savait, ses antérieurs se levaient montrant fièrement ses origines Espagnol. Puis l’homme le ramena près de la plate forme. Cette fois ci, l’étalon mit les deux antérieurs, l’homme le caressa alors puis ses postérieurs suivirent. Le jeune cheval monta calmement dans le camion. Le jeune homme attacha la longe dans un anneau puis il colla deux planches qu’il attacha pour garder le cheval à sa place. La porte du camion était maintenant fermée.

Le camion avait le moteur en route et il se mit à rouler. Falco dans le camion avait du mal à rester en place, car les mouvements du camion l’entraînait avec, mais finalement il arrivait à prendre appuie sur ses postérieurs et ainsi éviter de partir dans tous les sens. La route fut longue, mais entre, on laissait descendre ce magnifique étalon qui laissait des gens bouche bée devant la splendeur de l’animal. Il sortait du camion pour prendre l’air, boire et manger quelques brins d’herbes mais ce qu’il préférait par-dessus tout c’était de bouger. Il ne cessait d’être en mouvement, il trottinait jusqu’à galoper et se cabrait légèrement. On pouvait croire qu’il était sauvage quand on observait son comportement mais non, il était comme ça, pas bien méchant mais beaucoup actif. Le cavalier qui l’attendait dans son nouveau chez lui, n’allait pas être déçu mais il avait tout de même intérêt de le travailler souvent, car ce cheval était une vraie pile électrique. La pause terminée, il remonta sans souci dans le camion puis il reprit la route.

1 ou 2 heures plus tard, Falco sentit de drôle d'odeur assez étrange de son hublot, il tendit ses naseaux puis huma l’air, il fit le flehmen puis découvrit d’étrange odeur de chevaux et d’humains. L’étalon gris se mit alors à danser sur place, il lançait des hennissements plutôt graves et commençait à taper partout. Des traces de sueur se montrèrent au bout de quelques minutes. Le camion se gara puis, même à l’arrêt, on pouvait observer le camion bougeait, et les bruits de sabots qui s’y échappait. Un homme ouvrit la porte du camion, puis vit le jeune cheval en sueur, il lui fit une légère caresse sur l’encolure de celui-ci, puis il détacha les planches puis le nœud qui le tenait. Il tenait la longe puis emmena l’étalon vers l’extérieur du camion une dernière fois. Hé oui, il était arrivé à destination. Le jeune cheval descendit doucement puis il fit un léger saut et se mit à danser autour de l’homme qui le tenait. Oreilles pointées vers l’avant, l’encolure légèrement arquée, la queue fouettant l’air, il lâcha plusieurs hennissements rauques, toujours en mouvement. Ses membres semblaient voler, il touchait à peine le sol puis il remontait aussitôt. Il faisait ça avec grâce et finesse, ce qui faisait rêver le peu de personne présent. L’étalon s’était arrêté puis de suite après il se cabra légèrement.

L’homme se mit donc à marcher, demandant ou il pouvait laisser le cheval. On lui indiqua alors le manège qui était à quelques pas de là ou était le camion. L’homme devant et l’étalon qui trottinait a coté en passant parfois devant, le jeune cheval ne tenait pas une minute en place. Il bougeait tout le temps, l’homme tira légèrement sur la longe du licol pour remettre Falco à sa place. Il arriva près du manège, l’homme ouvrit la porte, il entra à l’intérieur puis laissa le cheval faire de même. Aussitôt à l’intérieur, l’homme referma la porte puis il enleva la longe du licol et sortit rapidement. Falco regardait autour de lui, puis aussitôt détachait, Monsieur se mit à trotter gracieusement, queue légèrement panachée, encolure arquée, oreilles pivotantes. Puis il partit en trombe sans même savoir pourquoi, il lâcha quelques coups de Q. Il fit plusieurs tours de galop puis il s’arrêta, poitrail collé à la barrière, il ronfla des naseaux puis laissa s’échapper un hennissement.

[J'espère que ça suffit comme RP ^^]

Le jeune espagnol gris était dans la manège, toujours en train de galoper comme un taré, à envoyer des ruades à tout bout de champs, de l’énergie il en avait c’était certain. C’était un avantage pour lui, car il ne risquait pas de s’épuisait rapidement bien au contraire. Le jeune cheval s’arrêta dans le coin du manège, tête haute, naseaux dilatés qui laissaient s’échapper un ronflement, sa queue légèrement panaché puis ses fines oreilles grises pointées vers l’avant, lui donner une postérieur très majestueuse. Il observait les nombreux chevaux qu’il pouvait voir. Il se tourna puis lâcha un hennissement, puis reprit la place dans son coin. Le jeune cheval gris secoua sa tête dans tous les sens, puis il repartit ensuite dans un trot cadencé, assez lent, parfois même il trottait sur place, il fit ça tout le long de la clôture en bois qui le tenait maintenu dans cet endroit.

Ce cheval c’était Falco, un jeune espagnol gris, toujours entier, qui serait castré si son cavalier le souhaitait. Il montrait déjà son tempérament très chaud, impatient et surtout il montrait clairement qu’il ne pouvait pas rester tranquille. Le jeune cheval eut son attention attirée par un jeune homme qui venait de sortir de l’écurie plutôt rapidement. Le jeune homme semblait moyennement grand, aux cheveux bruns, un sourire c’était affiché lorsqu’il avait aperçu Falco. Le jeune cheval l’observait, oreilles pointées vers lui, puis sa tête bougeait suivant le jeune homme dans sa marche. Puis il l’observa rentrer dans le manège, le jeune cheval ne bougeait pas car il connaissait bien les hommes.

Au premier abord, on pouvait penser que ce jeune espagnol ne connaissait pas l’homme mais c’était tout le contraire. Il n’avait jamais été très traumatiser bien au contraire, ce cheval était fait pour quelqu’un qui souhaitait débourrer un cheval à sa façon. Falco avait tout juste 3 ans et ne connaissait pas vraiment les bases du respect ce qui donnait pas mal de travail à son cavalier. Mais ceci dit, cela serait facile si celui-ci se montrait ferme avec cette boule d’énergie. Falco observait toujours cet humain, qui pour lui était nouveau car il était nouveau dans ce nouvel endroit. Falco se tourna puis baissa la tête et observa l’homme quand celui-ci claqua de la langue, il releva brusquement la tête, oreilles pointées en avant. Puis il s’approcha doucement de l’homme qui avait prit le temps de s’asseoir sur un plot qui était disposé dans le manège. Le jeune cheval n’ayant pas réellement peur de l’homme, s’approcha, Falco effleura l’homme de ses lèvres. Il secoua sa tête de haut en bas, puis baissa sa tête pour laisser ainsi la chance à l’homme de pouvoir le caresser. Falco par son jeune age adorait les papouilles et s’amuser. Il n’avait en plus de ça, pas perdu sa curiosité, il aimait voir, toucher car il ne connaissait pas grand-chose. Le jeune cheval était en confiance avec cet homme, mais malheureusement, il ne resta pas sur place.

Falco tourna autour de l’homme puis s’arrêta à nouveau, l’homme était dos à lui. Falco le sentit, puis il le poussa du bout du nez.

Le jeune espagnol semblait intéressé par cet homme, qui semblait plutôt calme après ce qu’il venait de faire. Le jeune cheval adorait jouer, mais c’est vrai qu’il fallait faire attention avec lui, car il ne faisait pas toujours attention. Dans ses moments, il pouvait vous bousculer ou même vous faire mal mais c’était parce qu’il n’avait aucune éducation et non pas, par méchanceté. Ce cheval ne représentait pas la méchanceté bien au contraire, il avait d’autre qualité que son cavalier pourrait apprécier. Le jeune cheval regardait l’homme l’air étonné, celui-ci ne l’avait pas engueulé, quoi que, cela n’aurait servit à rien étant donné que c’était trop tard. Le cheval gris avait les deux oreilles pointées en avant, puis Falco secoua sa tête, puis il eut un grain de folie. Il pivota sur ses membres et partit alors plein cul, envoyant de nombreuses ruades, remuant son encolure dans tous les sens. Il s’arrêta à temps près de la barrière en bois. Il tourna sa tête puis tourna entièrement en regardant l’homme. Il secoua vivement sa tête de haut en bas, attendant sûrement un geste de la part de cet homme lui montrant qu’il allait joué avec lui.

Il lança un léger hennissement, puis il se mit à se pavaner. Falco se mit à trotter gracieusement, levant ses membres comme tout espagnol. Il panacha légèrement sa queue, sa crinière flottant légèrement, le jeune cheval avait beaucoup d’élégance et semblait savoir le montrer, son encolure arquée et ses naseaux dilatées. Il releva alors la tête, puis il s’arrêta en observant l’homme qui partit au bout du manège. Falco l’observa puis au pas, il s’approcha curieux. Seulement quand il vit la boule rouge que sortit l’humain de l’herbe, Falco fit un grand écart puis ronfla des naseaux, intrigué par l’objet. Il baissa l’encolure puis ronfla à nouveau et s’approcha doucement, en voyant que la balle ne semblait pas bouger. Falco s’approchait tout de même curieux. Il arriva près de la balle, puis se mit à ronfler de plus en plus. Il toucha ensuite la balle avec sa lèvre et celle-ci se décala légèrement, le jeune cheval eut tout de même peur et recula de quelques pas.

Falco se rapprocha à nouveau et toucha à nouveau la balle, mais il semblait en avoir de moins en moins peur. Au bout de 5-10 minutes, on finit par observer Falco qui s’amusait à faire rouler la balle, en l’attrapant avec sa mâchoire. Il réussit, à un moment, à la garder dans la mâchoire puis il la secoua de haut en bas puis la lâcha. La balle roula puis s’arrêta. Falco regarda l’humain puis il secoua sa tête, il trottina pour retrouver la balle rouge puis continua à s’amuser avec.

Le jeune cheval qui s’amusait bien avec son ballon, tourna la tête avec le ballon qui l’avait réussit à garder dans sa mâchoire. Oreilles pointées, il observait l’homme s’approchait de lui. Falco laissa tomber le ballon au sol, puis il se tourna. L’homme était partit en courant puis il était totalement partit, l’étalon se mit alors à observer rapidement autour de lui, puis lança quelques hennissements car il se retrouvait tout seul comme un kouillon. Puis il s’arrêta lorsqu’il vit l’homme revenir avec du matériel à la main, il ronfla lorsque l’homme s’en approcha avec. Il se laissa mettre le licol sans rien dire, enfin si il s’amusait avec, il tentait d’attraper entre ses lèvres le licol lorsque son cavalier lui mettait. Le jeune cheval était maintenant équipé pour sortir mais est ce qu’on avait prévenu l’homme que l’étalon n’était pas respectueux.

L’étalon gris mit un simple sabot à l’extérieur de la carrière que ce fut le désastre, Falco se mit alors à piaffer, marcher parfois sur l’arrière des chaussures de l’homme, puis il le dépassait. Heureusement, que dans les parages il n’y avait aucun cheval car cela pourrait être bien plus pire. L’étalon suivait l’homme jusqu’à l’écurie ou là il fut mit dans son box, un box assez grand ou il pouvait bouger sans difficulté. Le jeune cheval laissa l’homme lui enlevait le licol puis, l’homme s’en alla. Il sortit du box et Falco passa la tête au dessus de sa porte et observa l’homme partir à nouveau.

L’étalon eut alors le temps d’examiner son box, il mit le nez dans la paille puis sentit les différentes odeurs d’humaines. Il repéra alors l’abreuvoir où il prit de nombreuses gorgées, après tout ça il le méritait. L’homme était revenu quelques minutes plus tard, et l’étalon l’avait entendu. Il tourna la tête puis bue la gorgée d’eau qu’il avait dans la bouche. Falco se précipita alors à la porte du box quand il observa le foin qu’avait ramené l’homme. L’étalon se recula légèrement mais il tendit l’encolure pour tenter d’attraper quelques brindilles de foin. L’étalon se recula finalement, puis quand l’homme entra, Falco réussit à piquer du foin. Puis il se régala par la suite, quand l’homme avait posé la ration de foin au sol.