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 • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste

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Louis T. Delmas
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MessageSujet: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMar 5 Mar 2013 - 21:38

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


Vous savez ce que ça fait de rencontrer une personne qui est comme vous, qui vous comprend et qui fait attention à vous ? Qui arrive à vous donner le sourire dans n’importe quelle situation et qui vous met de bonne humeur rien que par sa présence ? Eh bien moi, je sais ce que ça fait. Et je vous assure que c’est incroyable comme sensation, en à peine trois semaines maintenant, j’avais appris à connaître Céleste, cette jeune fille pleine de vie, pleine de bonne humeur et limite pile électrique, mais pourtant si sensible à l’intérieur. Elle m’avait accordé une partie de sa confiance, j’avais fait de même et jamais encore je n’avais ressenti quelque chose comme ça pour quelqu’un. Quand elle n’était pas là, je me sentais bien, certes, mais il y avait comme un énorme manque. Alors je m’amusais à l’appeler n’importe quand, n’importe où, juste pour pouvoir entendre sa petite voix toute mignonne que j’adorais. Et puis ça ne semblait pas l’agacer, au contraire, donc je ne m’en privais pas !

Par contre attention hein, je ne la collais pas non plus, je lui laissais beaucoup de liberté – en même temps, c’était tout à fait normal – et j’essayais d’être le moins oppressant possible. Sauf que voilà, elle était comme une drogue pour moi, alors dur dur de m’en passer, voyez-vous • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 337664734 Enfin bon, j’essayais de gérer tout ça le mieux possible, de ne pas exagérer quand même.

Je l’avais appelée la veille pour lui proposer un petit cours de guitare vers dix heures, chose qui était devenu un peu une habitude maintenant. Non mais hey, elle progressait bien la Céleste ! Elle était super douée et elle comprenait tout ce que je lui expliquais, malgré le fait que mes explications ne soient peut-être pas toujours très claires. Je m’étais levé à neuf heures, histoire d’avoir largement le temps de me préparer et j’avais même prévu de ranger mon appart’, tiens ! Je me l’étais juré en même temps, je ne voulais pas vraiment recevoir un deuxième pull à la gueule, alors voilà, j’allais tout ranger ! En plus je l’épaterais comme ça, c’était une bonne chose ça aussi. Je me levai donc, tout en remettant mes cheveux un peu à leur place à l’aide de ma main. Je n’osais même pas me regarder dans une glace, en fait, je devais avoir une tête affreuse. Déjà que j’avais l’air fatigué la plupart du temps, là ça devait être bien pire. J’ouvris les rideaux et le soleil illumina la chambre, chose qui m’arracha un sourire. De quoi bien commencer la journée ! Je me dirigeai vers la salle de bains et manquai de sursauter en voyant mon reflet dans le miroir – si si, je vous jure – et je me brossai rapidement les dents. Ensuite, direction la douche ! Je me lavai les cheveux en passant, comme ça au moins ils seraient beaux à l’arrivée de la belle. Je sortis de la douche, et la serviette autour de ma taille, je me dirigeai vers ma chambre et sortis de mon armoire un jeans bleu et une chemise à carreaux de différents tons de bleu, ainsi que des chaussettes noires. J’enfilai tout ça, me mis du déodorant, un peu de parfum, et me voilà prêt. Je mis aussi mes chaussures, en passant, ce serait mieux que de me balader en chaussettes. Des converses noires, ça irait, non ?

Je me mis ensuite à tout ranger dans mon appart’ : les vêtements qui traînaient, je rangeai un livre dans la bibliothèque, je rangeai deux magasines qui trainaient sur la table basse, je rangeai mon ordi que je mis sur mon bureau – il se trouvait dans le canapé – et partis faire mon lit. Bon, normalement, Céleste n’allait pas entrer dans ma chambre donc elle ne verrait pas ça de toute façon, mais tout devait être parfait ! Comme ça, elle n’aurait plus rien à me reprocher. Je nettoyai aussi la cuisine : les miettes sur la table, je mis une casserole qui traînait dans le lave-vaisselle et pour finir, je regardai autour de moi, l’air satisfait. Bon ben, c’était vraiment pas mal tout ça ! Dix fois mieux que la première fois où elle était venue. J’espérais qu’elle allait apprécier, au moins ! Parce que je m’étais vraiment obligé à faire le ménage, et c’était une énorme corvée pour moi. Je sais, je suis ridicule, mais c’est vrai, je détestais ça. Maintenant, y’avait plus qu’à attendre la belle !



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Alexandre L. Leroy
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMer 6 Mar 2013 - 22:00


• Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Tumblr_ma3cw4fEVY1r73h97
‘‘ Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? ’’

→ Céleste.
Ce qu'on peut se ressembler..!

Depuis trois semaines que j'étais ici, j'avais déjà fais de très belles rencontres. La plus belle de mes rencontres était, sans conteste, celle faite avec Florent. Jeune parisien ici de puis peu, il m'avait aidé à emménager et bien plus. Il était beaucoup trop adorable. Il m'avait fait visiter l'académie, aussi, il m'avait invité à boire un café chez lui, m'avais fais confiance en me parlant de son histoire, en me faisant partager sa musique à la guitare et avec sa voix sublime, nous avions aussi mangé ensemble dès le premier jour et il savait tout de mon histoire. Sans mentir, je lui faisais une confiance déjà plus qu'énorme par rapport à un laps de temps si court. Mais surtout, on se voyait tous les jours ou presque puisqu'il m'apprenait à jouer de la guitare. Et là c'était rendez-vous à dix heures. J'étais toute impatiente.

Je m'étais levé aux aurores, histoire de faire mon ménage – l'appartement était nickel en permanence – et d'avoir du temps pour moi à la salle de bain. Sous la douche, j'avais lavé mes cheveux avant de les sécher et de les lisser. Ils étaient certes lisses mais pas raides, parce que raide ce n'était pas joli. J'en avais profité pour me maquiller discrètement. Un léger fond de teint qui m'allait élégamment, un peu de fard à paupière gris métallisé, un trait d'eye-liner, du mascara et finalement une petite touche de gloss. J'avais aussi mis des petites étoiles aux lobes de mes oreilles, argentées et discrètes, ma chaîne en argent avec un pendentif que j'avais depuis toujours, semblait-il, une bague argentée, simple anneau non poli, très simple et beau, en guise de bracelet un lien de cuir que je nouais. Malgré le nombre de bijoux, ils étaient petits et discrets, on ne les discernait qu'à peine et c'était loin de faire trop.

Pour ce qui est de la tenue, j'avais opté pour une paire de collants noirs mais pas opaques, une jupe à motif écossais dans les tons de gris qui m'arrivait un peu haut au dessus du genou sans être provocante, ce n'était pas le but, après tout. Je mis aussi un chemisier blanc assez cintré sur lequel il y avait un petit motif noir au niveau du cœur. J'enfilais ensuite une paire de chaussures noires à talons, les même que celles de la soirée de Flo' d'ailleurs, sauf que je les agrémentai cette fois si de gris clair à la place du bleu. Et oui, chaussures modulables à l'envie ! Avec tout ça, j'avais passé un temps fou à me préparer et voilà qu'il était dix heures. J'enfilais ma veste en cuir avant de fermer à clés mon studio et de monter deux étages au dessus, chez mon joli professeur. A peine arrivée, je toquais à la porte. Et bien entendu il m'ouvrit rapidement et je lui servis mon adorable et énorme sourire. Pour le saluer, je passais mes bras autour de son cou avant de lui poser deux petits bisous tous doux sur les joues. Au fil des jours, une vraie complicité s'était installée entre nous et c'est ainsi que j'entrais dans son studio. Je ne pus m'empêcher une petite moquerie.

« Mais c'est pas possible, monsieur se serait-il mit au rangement ? C'est presque nickel ma parole ! »

Je lui tirais la langue avec bonne humeur. Non mais j'adorais l'embêter. Je l'adorais tout court même, et puis mon regard se porta rapidement vers lui. J'étais juste moi, Céleste, fille bien dans sa peau, surtout lorsqu'il était juste là, tout proche. J'avais mon passé, ou plutôt mon absence de passé mais je m'en contrefichais, j'étais bien, j'étais sereine, j'avais juste envie de rire, de m'amuser, de lui sourire et de lui dire ce que je pensais de lui, de son caractère adorable, de son humour, de son extraordinaire voix, de son talent à la guitare, et aussi de son adorable sourire qui me faisait fondre, de ses yeux qui happaient les miens, de son visage qui attirait inextricablement mes yeux. Vous savez bien à quoi cela ressemble, n'est-ce pas ?
Shtoum (c)
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Louis T. Delmas
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 19:17

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


Aujourd’hui, j’avais invité – comme souvent – Céleste à venir prendre un petit cours de guitare. Enfin, il n’y avait pas que la guitare hein, y’avait aussi les rires, les discussions, tout ça. Vous l’aurez compris, avec elle, c’était le paradis pour moi. Bon ok, je vous l’avoue maintenant, en toute honnêteté. J’avais craqué pour elle. Je l’avais nié pendant ces trois semaines, mais elle était tellement adorable, souriante, serviable et tout plein d’autres choses que je ne pouvais tout simplement pas craquer pour elle, c’était mission impossible. J'étais amoureux, complètement dingue d'elle.Voilà, je vous l’ai avoué, maintenant, pas de commentaires s’il vous plaît !

Je m’étais donc préparé en deux temps trois mouvements et j’avais enfilé une tenue simple, mais plutôt classe quand même. Je m’étais ensuite mis à ranger tout mon appart’ jusque dans les moindres recoins, et je n’en étais pas peu fier. C’était une des choses que je détestais le plus au monde, bien plus que de manger des chicons (• Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 2752390508) mais pour Céleste, j’étais prêt à tout faire, même ça. Vous vous imaginez ? Non mais si Alex’ m’entendait, là, il me rirait au nez comme pas possible • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1990738599 Voir son vieux pote se mettre au rangement pour une fille, il trouverait ça vraiment très, très marrant. En tout cas le p’tit clown là, il avait pas intérêt à me faire chier parce que j’étais amoureux hein • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1950736702 Une fois tout l’appartement rangé, j’entendis toquer à la porte. Par réflexe, je regardai l’horloge et comme d’habitude, elle était super ponctuelle ! En même temps, elle habitait deux étages en-dessous de moi donc c’était pas très dur d’arriver ici, mais quand même, c’était super ! Je partis donc lui ouvrir tout joyeux et tout de suite, elle passa ses bras autour de mon cou en me faisant la bise. Je passai les miens autour de sa taille et lui rendis sa bise avec plaisir, le sourire aux lèvres.

« Coucou toi ! Tu vas bien ? »

En trois semaines à peine, une vraie complicité s’était créé, on savait qu’on pouvait se parler de tout et n’importe quoi, qu’on pouvait se confier l’un à l’autre sans être trahi, qu’on pouvait déconner sans se faire critiquer par la suite ou se faire regarder de travers… Bref, c’était incroyablement génial, et j’étais super heureux de l’avoir aidée avec ses cartons à son arrivée. Parce que oui, cette histoire-là, on ne l’avait toujours pas oubliée ! Le truc du dompteur de cartons était resté, et on se surprenait souvent à mentionner ce délire dans ce qu’on disait. Comme quoi, une vraie connerie peut devenir une histoire qu’on retiendra toujours ! Je ne devais même plus l’inviter à entrer maintenant, on passait automatiquement au salon directement et on s’installa dans le canapé bien tranquille. Elle me dit ensuite sur un ton plein d’humour et plein d’étonnement que je m’étais mis au rangement, avant de remarquer que c’était presque nickel. Je ris, amusé, avant de répondre :

« Ben oui, t’as vu ça ? Je sais pas comment tu fais, mais tu me motives ! » Plein d’enthousiasme et un grand sourire aux lèvres, je continuai : « Alors raconte-moi, ça va la vie ? » C’était une question assez stupide, puisqu’on s’était encore vus la veille, mais c’était juste pour la faire parler un peu hein ! Je continuai, toujours avec enthousiasme : « Tu bois quelque chose ? »

Il était dix heures du matin seulement, alors je ne savais pas si elle aurait envie de quoi que ce soit. Pour ma part, je ne buvais rien, je venais de prendre mon p’tit dèj donc ça me suffisait largement. Après avoir répondu à la demande de la jeune femme, je partis sortir ma guitare de la housse et la tendis à la jeune femme, tout joyeux.

« Alors, montre-moi si t’as bien écouté en cours ! Montre-moi quelque chose, ce que tu veux. »

J’aimais l’entendre jouer, pas de doutes là-dessus. Sa petite bouille était trop adorable, et quand elle se trompait, son expression du visage était à mourir de rire. Pourtant je me retenais à chaque fois, elle avait tout à fait le droit de se tromper et je me contentai donc de lui lancer des petits sourires pleins de tendresse en l’encourageant. Peut-être qu’au bout d’un moment, elle pourrait même jouer une reprise d’un chanson tiens, pourquoi pas ! Mon rêve était de l’entendre jouer Old Fears un jour, une chanson pas super facile donc ce ne serait pas pour tout de suite, mais je me réjouissais déjà à l’avance à l’idée de l’entendre jouer ma propre chanson.


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Alexandre L. Leroy
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 22:57


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‘‘ Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? ’’

→ Céleste.
Ce qu'on peut se ressembler..!

Séance aveux, n'est-ce pas ? Vous avez sûrement déjà capté comment mes yeux brillent quand je le regarde ? Comment mon sourire s'étire lorsqu'il me parle ? Le ton doux et gai que j'emploie quand je lui parle ? Et bien, oui, je lui faisais confiance, j'avais laissé une énorme complicité s'établir entre nous. Je commençais même à me demander comment j'allais faire si un jour on arrêtait de se voir tous les jours. Il était à la limite d'être ma drogue, mon crack, la dose d'héroïne qui me faisait planer sur un nuage de coton rose toute la journée pour peu que je l'ai vu une heure. J'étais prête à n'importe quelle folie pour peu que cela me permette de passer du temps avec lui. Mon joli parisien commençait à compter beaucoup, comme un peu trop aussi, et j'étais presque certaine que cette sensation d'explosion que j'avais quand j'étais à ses côtés ce n'était que la partie immergée d'un iceberg. Dire que je l'aimais, voilà ce qui était difficile à avouer. Mais que je n'allais pas taire, puisqu'il s'agissait de la vérité.

Alors ne vous étonnez pas que je lui saute dans les bras, au bello, lorsque j'arrivais. Le simple fait de sentir ses bras passer autour de ma taille avait tendance à m'électriser et généralement je ne me détachais de lui qu'à contrecœur. Par contre je souriais comme il faut, pour le coup. Rien que le fait d'être avec lui c'était parfait pour moi. En plus il était mignon tout plein tout le temps... Genre là il s'inquiétait de comment j'allais. Je posais ma tête sur son épaule, une seconde, comme prenant le temps de la réflexion. En fait j'étais juste bien contre lui, voyez-vous.

« Hm... Ouais, mais j'ai plus envie de bouger en fait... T'es en forme pour me supporter ? »

Je lui piquais un nouveau bisou sur la joue, tendre et espiègle à la fois. Je ne savais pas s'il finirait un jour par comprendre le pourquoi du comment de mon caractère. C'était juste que, comprenez-vous, je n'aurais jamais le cran de le regarder droit dans les yeux et de lui dire qu'il n'y avait qu'à ses côtés que j'avais la sensation d'exister. J'avais trop peur qu'un aveu pareil ne l'éloigne de moi et là, j'avais beau être une battante, l'incarnation charnelle de l'espoir et de la bonne humeur, je craints de n'être plus qu'une ombre et de m'effacer petit à petit de la surface de la terre, de mourir à petit feu. Et oui, c'était à ce point-là. C'était devenu l'oxygène qui remplissait mes poumons, le sang qui coulait dans mes veines, l'énergie qui parcourait la moindre parcelle de mon corps. Enfin... Je me détachais de lui, pour virevolter jusqu'au salon, où je m'amusais à le charrier, ce qu'il prit à la bonne humeur, bien entendu. En plus comme il s'était aussi assis dans le canapé je m'étais rapprochée de lui pour le taquiner gentiment. Il lui fallait vraiment de l'énergie pour me supporter, je crois, parce que j'étais capable d'être usante, vous savez ! Je me contentais juste de le pousser de l'épaule. Bah s'il voulait que j'arrête il n'avait qu'à m'attraper ! Et en plus on parlait ménage. Je le motivais ?

« C'est parce que j'ai de l'énergie à revendre que je te motive ! J'suis contagieuse pour certaines choses... Et j'ai eu un retour négatif pour le boulot, nouvelle tombée hier soir donc je suis bien contente d'être ici sinon c'était déprime assurée. Dis-moi que toi c'est plus amusant, par pitié, me faut ma dose de bonnes nouvelles sinon mon moral va me tomber au fond des chaussettes ! »

Mais tais-toi donc crevette ! J'en avais oublié qu'il m'avait demandé si je voulais boire quelque chose. A bien y réfléchir, l'habituel café aurait sûrement raison de Florent vu comment j'étais en forme aujourd'hui. Je lui répondis finalement, avec un grand sourire aux lèvres que c'était gentil de proposer et qu'un verre d'eau m'irait très bien. Il me l'apporta d'ailleurs. Et il me tendit ensuite la guitare. J'avais eu un peu peur au début de ne pas m'en sortir, mais en fait j'étais plutôt douée, enfin je veux dire que j'apprenais vite en tous cas et j'avais l'impression de ne pas être trop nulle non plus parce que mine de rien, les faux accords n'étaient pas nombreux. J'avoue que je restais sur des trucs basiques mais c'était mes débuts en musique, ne l'oublions pas. Je pris donc la gratte bien en main, la calant pour ne pas la laisser glisser. Je plaçais ma main gauche de manière à pianoter avec pour tendre les cordes, ma main droite se plaça alors sur les cordes. Je fermais les yeux, une seconde, un sourire plus léger, de bonheur intense, étira mes lèvres.

Je rouvris les yeux afin de placer quelques accords élégants, très lents, puis un peu plus rapidement, avant de prendre le rythme initial. Here, there and everywhere. Je n'étais pas encore assez douée pour aller très loin, mais au moins j'avais pu donner le tempo. Et vu comme j'étais énervée, bien qu'incapable de jouer plus loin, je continuais, à la voix cette fois-ci. En trois semaines, Flo' n'avait eu le droit qu'à la guitare, jamais à ma voix, que je trouvais ridicule et pas juste du tout. Généralement c'était lui qui fredonnait pour m'accompagner et je trouvais ça plus élégant. Mais je me dévalorisais, à la vérité. Parce que déjà, j'avais une belle voix, et elle était juste. Et ce n'est pas moi qui le dit, c'est celle derrière l'écran, je plaide non coupable. Bref, après un couplet, je me tue finalement, avant d'entamer quelque chose de beaucoup plus ambitieux. Quatre notes et déjà un accord raté. Je fis la moue en m'arrêtant, les épaules complètement affaissées.

« J'y arrive définitivement pas à celui-là, ça m'énerve ! »

Nan mais en fait le pauvre chéri il était baladé dans tous les sens parce que je menais franchement ma danse. Par deux fois je réessayais le même accord, par deux fois je passais à côté, encore une fois. Pitié, faites qu'il pige d'où venait le problème parce que ce n'était plus dans mes capacités ! Mais en fait, c'était surtout que j'avais envie qu'il s'occupe de moi. Manque de concentration ? Oui, totalement !
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• Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Vide
MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeDim 10 Mar 2013 - 21:24

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


La façon dont on se disait bonjour, j’adhérais, vraiment. C’était mignon tout plein, ce geste était plein de tendresse et de bonheur et c’était juste parfait. Non, que dis-je, elle était parfaite. C’est donc à contre cœur que je la lâchai, mais le sourire restait bel et bien présent. Je lui demandai ensuite comment elle allait, et elle posa sa tête sur mon épaule quelques secondes avant de me répondre qu’elle n’avait plus envie de bouger, et elle me demanda si j’étais en forme pour la supporter. Je lui fis un sourire plein de tendresse, avant de répondre à mon tour :

« Je dois pas te supporter, c’est génial quand t’es là. »

Et puis ce contact qui avait duré seulement quelques secondes, sa tête sur mon épaule c’était… divin *-* Je voulais tellement que je puisse ressentir ce moment de bonheur plusieurs fois encore… Fallait vraiment que je lui fasse comprendre ce que je ressentais, là, j’en pouvais plus d’attendre. Mais malgré tout, chaque chose en son temps, et laissons d’abord la petite Céleste passer au salon et s’installer confortablement dans le canapé. Et puis ce petit bisou sur la joue, tout mignon, c’était incroyablement plaisant aussi, ça. Elle me taquina sur la manière dont j’avais rangé mon appart’, qui d’après elle était « presque nickel ». Ah ben, de toute façon, je ne pouvais pas faire mieux, là ! Pour moi mon appart, là, il était au top ! Enfin bref, je lui dis ensuite qu’elle me motivait, mais que je ne savais pas du tout comment elle faisait. Parce que pour que je fasse le ménage… fallait le faire quand même. Elle m’expliqua que c’était parce qu’elle avait de l’énergie à revendre et ça, je voulais bien le croire. C’était une petite pile électrique qui ne s’épuisait jamais, mais ça ne me dérangeait pas du tout, au contraire. C’était juste trop mignon, en fait. Oui, je sais que j’arrête pas de dire le mot ‘mignon’ mais c’est exactement ça quand même hein • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1990738599 Elle répondit ensuite à ma question de comment allait la vie, et elle m’expliqua qu’elle n’avait pas eu de bonnes nouvelles au boulot, qu’elle était contente d’être ici parce que sinon, c’était la déprime assurée. Je fis une petite moue genre • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 3483496927, ne sachant pas trop quoi dire sur le coup, et lorsqu’elle me dit qu’elle espérait que ce serait plus amusant chez moi, un petit sourire malicieux étira mes lèvres.

« Je travaille sur une nouvelle chanson ! Je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant parce que c’est loin d’être terminé, mais je peux t’assurer que tu seras la première à l’écouter ! »

Je lui demandai ensuite si elle voulait boire quelque chose, et ce serait donc un verre d’eau pour la demoiselle. Je partis lui chercher ça et lui présentai le verre, avant de sortir ma guitare de la housse et de la présenter à la jeune femme. J’étais bien curieux de voir ce qu’elle allait me montrer ! Elle faisait entièrement ce qu’elle voulait, je ne lui imposais rien. Déjà, elle plaça bien ses mains, comme je lui avais montré. Elle ferma les yeux une petite seconde, sourit et commença ensuite à jouer. Quelques accords lents mais jolis sortirent de l’instrument et lorsqu’elle accéléra, je reconnus directement la chanson. Here, there and everywhere. Je l’avais interprétée très souvent moi aussi, et c’était une chanson qui me tenait beaucoup à cœur. Elle me rappelait de très bons souvenirs et c’était toujours un plaisir de la jouer, n’importe où, n’importe quand. A un moment, elle s’arrêta de jouer, sûrement incapable de continuer, et lorsqu’elle continua en chantant, je levai vivement les yeux vers elle, des étoiles plein les yeux. Elle chantait ?! Oui, elle chantait, et super bien. Incroyablement bien. Elle avait une petite voix douce, adorable et ne poussait pas sur sa voix, ce qui donna un autre effet à cette chanson que j’avais pourtant déjà entendue tellement de fois. J’étais émerveillé, tout simplement. Et ça se voyait à mon regard, mais aussi à mon sourire qui partait d’une oreille rejoindre l’autre. Elle était incroyable, cette fille, et pleine de surprises. Elle se tut après un couplet, et enchaîna sur quelque chose de beaucoup plus compliqué, et c’est après quelques notes qu’elle se trompa, visiblement irritée. Un sourire tendre aux lèvres, je m’approchai un peu d’elle et lui expliquai son erreur.

« Ton index n’est pas posé au bon endroit, du coup tu ne joues pas la bonne note. » je soulevai son doigt et le déposai au bon endroit, avant de continuer : « Voilà, c’est là qu’il faut le placer. Réessaye plusieurs fois le même accord, comme ça tu prendras l’habitude de le poser au bon endroit. Même si tu ne réussis pas au début, tu vas finir par y arriver. Vas-y, essaye. »

J’espérais que mes explications seraient à la hauteur, et qu’elle finirait par y arriver. L’apprentissage d’un instrument était long et parfois pénible, mais on finissait toujours par réussir et ça, je trouvais ça super comme sentiment. Je restais toujours très patient pendant qu’elle réessayait plusieurs fois le même accord. C’était tout à fait normal de se tromper, et chez elle, c’était plus adorable qu’autre chose. J’aurais pu passer des heures en train de lui donner cours, je vous assure. Sauf qu’au bout d’un moment, fallait quand même s’arrêter, parce qu’elle finirait par trouver ça lassant. Je la laissai boire un coup lorsqu’elle le voulait aussi, après tout ça donnait soif de s’acharner comme ça. Mais une chose dont je ne revenais vraiment pas, c’était qu’elle ait commencé à chanter comme ça, sans que je m’y attende. Elle chantait merveilleusement bien en plus, alors c’était juste un bonheur de l’écouter. Et de la regarder, aussi. Je me sentais bien, enfin non, mieux encore, j’étais aux anges.



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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeDim 10 Mar 2013 - 22:21


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Mais qu'il était mignon ! Mais qu'il était parfait ! Mais que je l'aimais ! Oui, c'était un peu ça dans ma tête, et j'étais bien, juste posée contre lui, juste toute tendre parce qu'il était là, tout près de moi. En plus c'était trop chou ce qu'il me répondit. Ben oui, il disait qu'il n'avait pas de mal à me supporter parce qu'il paraissait que c'était génial quand j'étais là et j'étais toute fière qu'il soit bien avec moi. Enfin, avec moi, c'était grand de dire ça. J'avais peur que mes sentiments ne soient à sens unique. Parce que voilà, on était proches et complices, mais j'avais l'impression que c'était toujours moi qui allait le chercher, ce petit truc, ce petit lien tout à fait unique qui s'était tissé entre nous, même si lui y répondait, il est vrai, avec plaisir. Et d'un autre côté ça m'allait parce que j'étais quand même avec lui, et c'était tout ce qui comptait pour moi, c'était la seule chose importante à mes yeux, d'être avec lui, de le voir sourire, surtout. C'était tout ce qui comptait pour moi.

Alors quand je vis sa tête quand je lui avais dit que niveau taf ça n'allait pas des masses, et bien je m'en étais amèrement voulu dès le départ, j'avais donc quand même affiché un putain de sourire qui voulait dire que rien n'était grave. Par contre je kiffais à mort son sourire suivant. Et ce qu'il m'annonça ! Je dus le retenir le Hiiiiii à la Bloody parce que ça faisait vraiment trop hystérique. Moi, la première à écouter sa nouvelle création top secrète ? J'étais la fille la plus chanceuse du monde ma parole ! Parce que lui, c'était juste un musicien et chanteur de génie et que je sois la première à écouter ce sur quoi il travaillait c'était... Magique. J'eus un sourire énorme et mimi tout plein avec les yeux qui brillaient comme un enfant qui voit ses cadeaux au pied du sapin.

« J'en serais honorée ! »

Avec ma voix qui dégageait quand même dans les aigus, pauvre de moi ! M'enfin, il était certain que j'étais contente, comme ça, au moins. Je finis par me mettre à jouer, et c'était devenu fluide, j'étais plutôt fière de moi. Ce qui était mieux, c'est lorsque je me mis à chanter. Voir son visage, le luisant de ses yeux, son sourire énorme, et même plus que le mien, j'étais vraiment super contente de mon petit effet. Lui aussi m'avait fait le même, la première fois qu'il avait chanté pour moi, alors je trouvais normal de lui rendre cela. Même si j'aurais aussi bien pu chanter faux, parce que je n'avais sûrement jamais chanté dans ma vie, enfin, c'était en tout cas quelque chose que je n'avais pas du tout en mémoire, pour le coup. Mais bon, je n'étais pas là pour chanter, mais pour jouer à la guitare, ce que je fis, bien évidemment. Mais il y avait ce bon sang d'accord qui ne voulait pas venir ! Donc ça m'agaça assez vite et finalement, Flo' s'approcha de moi, m'expliqua ce qui n'allait pas et replaça mon doigt correctement sur les cordes. Il me dit de réessayer, de persévérer.Chose que je fis.

Je réessayais un long moment l'accord, jusqu'à savoir le faire et savoir le placer. Pendant une bonne demi-heure, je m'y exerçais. J'étais plutôt, vous l'aurez compris, du genre acharnée qui parvenait toujours à ses fins. J'étais plutôt fière de ma détermination. Parfois, pendant ce cours laps de temps, j'essayais des trucs, pas forcément élégants et dès que ça merdouillait je grimaçais en passant à autre chose. En fait je me contentais de m'amuser en jouant. Je pris par deux fois le temps de m'arrêter pour boire, mais au bout d'une demi-heure acharnée, mes doigts étaient raides et j'avais l'impression que les cordes les avait brûlés. C'est pourquoi je finis par m'arrêter, me lever, ranger la guitare dans sa housse – tic prit parce que j'avais peur de l'abîmer et par conséquent de faire râler Florent – avant de revenir dans le canapé, choisissant cette fois-ci délibérément d'aller me poser contre lui, posant ma tête sur son épaule, un sourire aux lèvres.

« J'en peux plus ! J'ai l'impression d'avoir les doigts d'une grand mère... Dis, t'as quelque chose de prévu pour la suite de ta journée ? »

Je tournais vers lui un regard tout mignon, avant de poser mes lèvres à peine au dessus de sa mâchoire. Plus vraiment la joue, pas encore le cou. Ce n'était plus « je veux qu'on reste amis » mais je n'osais pas encore lui dire « je te veux ». Car oui, chaque baiser à une signification particulière, et j'en avais marre, voyez-vous, d'attendre. Je l'avais dans la peau. Je ne sais pas si notre relation tient du coup de foudre ou non. Je sais juste que depuis le premier jour il est important, mais il ne l'était pas encore tant, c'est étrange si c'est cela le coup de foudre. Mais en trois semaines, il s'en était passé des choses.

Il avait fallu une petite semaine pour que je lui fasse l'entière confiance que j'avais envers lui désormais. Et en une semaine, il y avait eu la complicité. Et sur les quinze derniers jours, je dirais, il y a eu quelque chose. Dur à décrire, cette évolution. Je ne savais pas comment, depuis quand, pourquoi ou tant d'autres choses mais je savais juste que maintenant, je l'avais dans la peau, je l'aimais, je le voulais, et je n'étais pas prête à le laisser filer. J'en étais au point d'espérer de toute mon âme, de tout mon corps qu'il ressente la même chose pour moi. Je posais finalement ma tête sur son épaule, me blottissant contre lui. J'aurais pu fermer les yeux et me laisser aller à sourire pour le restant de mes jours, avais-je l'impression. Je me contentais pourtant de sourire, cherchant de ma main gauche la sienne pour l'embêter un peu, ne pas paraître trop suspecte à rechercher son contact.
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Louis T. Delmas
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeLun 11 Mar 2013 - 20:53

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


Lorsque je lui annonçai que je préparais une nouvelle chanson et qu’elle serait la première à pouvoir l’écouter, son regard recommença à briller et un énoooooorme sourire apparut sur son visage, chose qui me fit très, très plaisir. Qu’elle soit si enthousiaste à l’idée d’entendre une de mes nouvelles compos’, c’était excellent et très motivant, aussi. Je peux vous le dire, à vous, ce que j’avais en tête. Une chanson douce, mais rythmée quand même et qui prendrait des tournures un peu différentes au fil des notes qui passaient. Ca vous va, ça ? Après tout, je ne peux pas vous en dire plus parce qu’honnêtement, je ne savais pas du tout si j’allais arriver à composer la chanson comme je le voulais, et mes idées pouvaient totalement changer d’un jour à l’autre, comme ça, pouf, sans prévenir. Donc voilà, je vous dis l’idée de base, mais rien n’est sûr.

Puis vint l’épisode musique, et Céleste qui s’était mise à chanter. C’était parfait, parfait, parfait ! Elle chantait super bien et elle dégageait beaucoup d’émotions. Elle avait une voix hors du commun et bien à elle, ce qui lui donna encore plus de charme, et ce qui donna encore plus de charme à la chanson aussi, d’ailleurs. J’étais aux anges, tout simplement. Plein d’idées de duos me traversèrent l’esprit à toute vitesse et je dus me forcer à me reconcentrer pour ne pas que mon esprit s’évade trop. J’avais hâte de pouvoir chanter avec elle, ne serait-ce qu’un tout petit peu. Mais là, elle avait arrêté la chanson des Beatles, pour enchaîner sur une musique plus complexe et comme je m’y attendais, elle se trompa sur un accord. Ca ne sonnait pas faux, mais on entendait clairement qu’il y avait quelque chose qui clochait et je m’empressai donc de la corriger, sur un ton calme et patient. Je la laissai réessayer le même accord autant de fois qu’elle le voulait, jusqu’à ce qu’elle réussisse à le jouer correctement plusieurs fois d’affilée.

Après une demi-heure d’acharnement sur le même accord, mon amour d’élève s’arrêta et partit déposer ma guitare dans sa housse. Je comprenais tout à fait ce qu’elle ressentait : à force, on finissait par se lasser et on avait les doigts raides comme pas possible. Je ne dis donc rien lorsqu’elle cessa de jouer, et quand elle me dit qu’elle semblait avoir les doigts d’une grand-mère, je ris légèrement.

« C’est tout à fait normal, j’avais la même chose au début. Mais si tu continues à jouer souvent, tes doigts vont s’habituer petit à petit. »

A ma grande surprise, Céleste vint se blottir dans mes bras, sa tête contre mon épaule. Ce contact était électrifiant et apaisant à la fois… C’était parfait. C’est donc avec beaucoup de tendresse que je refermai mes bras autour d’elle, un signe de protection mais aussi de « tu es à moi ». Je ne voulais la perdre pour rien au monde, ma petite pierre précieuse. Il se passait quelque chose, à cet instant, quelque chose de très spécial. Je ne savais pas quoi, mais c’était magique. Elle me demanda ensuite si j’avais quelque chose de prévu pour la suite de ma journée, et je répondis, un petit sourire mignon aux lèvres :

« J’espérais la passer avec toi... »

J'espérais vivement qu'elle n'avait rien de prévu, elle, et qu'on pourrait passer la journée ensemble. Parce qu'avec elle, c'était le paradis. C’est au moment où elle déposa ce baiser si doux juste au-dessus de ma mâchoire, ni sur ma joue, ni dans mon cou que je ressentis le besoin de tout lui dire. Tout. Ce que je pensais d’elle, ce que je ressentais quand elle était là … Mais comment lui dire ? Je n’avais pas des masses d’expérience quand il s’agissait de femmes, contrairement à Alex’. Je ne savais pas ce que Céleste attendait de moi, ou même si elle attendait quelque chose de ma part, d’ailleurs. Peut-être que je m’imaginais des choses, peut-être que mes sentiments étaient à sens unique, mais je ne savais pas si je pourrais vivre avec cette idée. Finalement, je commençai donc à parler d’une voix douce, en hésitant un peu au début, mais ça passa au fil de mon petit discours.

« Je ne sais pas… je ne sais pas si tu connais ce sentiment de joie qu’on éprouve quand on voit une personne en particulier. Ce sentiment de bonheur intense, ce sentiment d’avoir l’impression de flotter, qui nous donne des ailes. On a l’impression de pouvoir franchir tous les obstacles du monde, n’importe lesquels. Mais pourquoi cette personne-là ? Pourquoi elle ? Aucune idée. Peut-être parce que c’est la personne la plus parfaite à nos yeux, ou peut-être que notre cœur a tout simplement complètement craqué. Ou alors, c’est peut-être l’addition de tout ça. L’amour. »

Je m’arrêtai quelques secondes pour lui laisser le temps d’avaler tout ça, de réfléchir un peu. J’espérais vraiment qu’elle finisse par comprendre ce que j’essayais de lui dire, parce que je n’y arriverais pas autrement. Je ne savais pas comment m’y prendre, je ne savais pas ce qu’elle voulait de moi. Mais j’espérais de tout cœur que mes sentiments seraient réciproques.

« Oui, ça doit être ça, être amoureux. »

Je tournai doucement la tête vers elle, et comme elle se trouvait tout près de moi, nos visages se touchaient presque. En avançant le mien un tout petit peu, je serais l’homme le plus heureux de la terre. Quelques centimètres seulement. J’entrelaçai doucement mes doigts aux siens, et caressai le dos de sa main avec mon pouce d’un geste lent. Je baissai les yeux, attendant une réaction de sa part. Juste une petite réaction, quelque chose qui m’indiquerait ce qu’elle pensait de moi. Je voulais être sûr et certain que je ne me trompais pas, avant d’entreprendre quoi que ce soit. Moi, incertain ? Oui, sûrement. Mais je n’étais pas le genre de mec sûr de lui qui n’a peur de rien, un râteau en plus ou en moins, qu’est-ce que ça changerait ? Non, moi j’étais l’opposé. Pas sûr de moi. Pas du genre « je m’en fous ». Parce que cette fille, elle comptait énormément à mes yeux, et je n’étais pas prêt de la laisser partir.


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Alexandre L. Leroy
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeLun 11 Mar 2013 - 23:30


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‘‘ Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? ’’

→ Céleste.
Ce qu'on peut se ressembler..!

Vous connaissez le truc, avec Flo' ? Il était parfait. Doué de patience, surtout. Parce que je me doutais qu'il fallait sacrément de patience, quand même, pour m'écouter gratter le même accord une demi-heure de suite. N'y avait-il vraiment que moi que cela finirait par lasser ? Mais voilà, je n'y était en aucun cas obligé. Je trouvais juste normal de mettre un maximum à profit tout ce qu'il m'apportait, pour que ce soit acquis pour chaque nouvelle séance et pouvoir avancer totalement. J'avais ma vision bien à moi de l'apprentissage, certes, mais d'un autre côté c'était le seul moyen de bien avancer, il fallait assimiler à deux cent pour cent tous les trucs et astuces, les petits gestes techniques et le placement des différents accords. Cela m'ancrait des repères. Et je marchais au repère, voyez-vous. Chaque chose avait sa place, sa raison, et c'était aussi bien ainsi.

Mais bon, au bout d'une demi-heure acharnée – mais fructueuse néanmoins – je n'en pouvais plus de jouer de la sorte. Bon, point positif, j'arrivais à jouer cet accord. Point négatif, mes doigts étaient vraiment douloureux pour le coup. Mais je crois bien que cela en valait la peine, parce que je réussis de la sorte à arracher un rire à Florent. Ces moments, ils étaient précieux, au dessus de tout. Parce que je sentais qu'il était bien, et je n'en étais que plus heureuse. Nan mais en plus il ne se moquait pas trop, puisqu'il repartit sur un petit truc, un petit conseil. Jouer souvent. J'eus un petit sourire. Aussi longtemps qu'il m'inviterait, je jouerais, pour lui, profiter de sa présence et du bien qu'il me faisait, mais pour moi aussi.

« Donc tu m'inviteras souvent à venir jouer ? »

Question légère, qui ne trahissait pas ma question un peu existentielle. Mon petit cœur battit la chamade lorsqu'il passa finalement ses bras autour de moi. J'y étais exceptionnellement bien. J'eus d'ailleurs un mal de chien à réprimer un frémissement de mon corps entier qui aurait traduit trop fort ce sur quoi je n'osais pas mettre audiblement de mots. J'aurais pu rester des heures collée contre lui. Mais il restait une question en suspens, qui s'avérait cruciale pour rester des heures dans ses bras... Son emploi du temps ! Lui m'annonça, avec son sourire craquant, qu'il avait espéré passer le restant de sa journée en ma compagnie. Je lui souris en retour avant de répondre avec plus de douceur que d'habitude :

« J'aime beaucoup ce programme ! »

Puis baiser tout doux. J'espérais vraiment que mes sentiments soient réciproques. D'un autre côté, c'était beaucoup trop beau pour être vrai. Enfin, Florent n'y réagit pas tout de suite, et je fus un peu attristée, mais sans lui montrer. Il ne m'aimait pas autant, alors soit, je me contenterais de toutes ces autres choses positifs qu'il m'offrait tout de même de vivre à ses côtés, comme l'apprentissage de la guitare, nos journées ensemble dans la joie et la bonne humeur, les partages de notre confiance réciproque. Ou alors je me trompais. Parce qu'il commença à parler. Mon cœur se mit à battre la chamade tandis que je tournais les yeux vers lui. Sa voix, qui s'assurait au fur et à mesure, me faisait entendre ce que je vivais. Et j'avais l'intime conviction qu'il m'en parlait parce qu'il ressentait cela. Il fit une pause, ajouta encore quelques mots. Je me serrais plus fort contre lui.

Lorsqu'il tourna son visage vers le mien, je sentis cette proximité, et mon corps entier brûlait de faire un mouvement de quelques centimètres à peine. Fais-le. Ses doigts enlacèrent les miens, et je lui souris, tendrement, le regard luisant. Lui baissa le regard, et je n'eus plus le courage de faire le premier pas à proprement parler, celui qui nous balancerait ailleurs. Mes joues rosirent un peu. Et si, à la vérité, ce n'était que des impressions de ma part, rien, trois fois rien, à peine plus qu'une amitié d'une force extraordinaire et indicible ? C'est pourquoi je voulais en être sûre, sûre et certaine. Alors, de ma voix d'une douceur sans fin, si belle et claire, je me contentais, comme lui, de quelques mots, d'un appel. Juste pour m'assurer qu'on était sur la même longueur d'onde, me rassurer aussi, et peut-être, qu'en savais-je, le rassurer ?

« Si tu parles de cette sensation que notre cœur est rythmé par celui de l'autre, qu'il est à la fois l'oxygène qui nous permet de respirer et le soleil qui nous permet d'avancer, ce besoin irrépressible d'être à ses côtés, de savoir qu'il va bien, qu'il est heureux, de lui montrer que l'on sera toujours là pour lui, quelques soient les raison, de ce sentiment qui nous pousse à ne vouloir que le meilleur pour l'autre auquel on a donné toute sa confiance et toute sa sincérité, alors oui, je connais ce sentiment, je sais le bien que cette personne nous fait quand elle est auprès de nous. »

Je fermais tendrement mes doigts sur les siens, le regard brillant, dans l'attente de sa réaction. J'avais, une fois de plus, mis à nu mes sentiments et même si cet aveu était déguisé, il était sincère, comme j'avais toujours été sincère avec Flo' depuis qu'il m'avait aidé avec mes cartons de pacotille. Même si je m'étais trompée, même s'il ne partageait pas cette passion, je refusais de le perdre, au risque de me perdre moi-même. C'est quelque chose d'étrange, l'amour. Ça vous fais faire les pires folies.
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Louis T. Delmas
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMer 13 Mar 2013 - 21:48

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


Je m’étais armé de patience pour aider Céleste dans son apprentissage de la guitare, plus précisément pour un seul accord sur lequel elle ramait depuis une demi-heure. Sauf qu’elle finit par le jouer parfaitement bien, et elle s’arrêta donc, apparemment satisfaite. C’était toujours mieux de s’arrêter sur quelque chose de bien de toute façon, que ce soit à cheval ou à la guitare. Si si, je vous jure ! Elle rangea donc ma gratte et se blottit dans mes bras, un geste dont j’étais complètement fan. C’était juste trop agréable ! J’avais donc passé mes bras autour d’elle d’un air tendre et protecteur. Je lui avais fait la remarque qu’il fallait qu’elle joue beaucoup pour que ses doigts s’habituent petit à petit, et elle me demanda si je l’inviterais donc souvent à jouer. Je répondis, un petit sourire amusé aux lèvres :

« Quand tu voudras ! Mais si ça t’ennuie n’hésite pas à me le dire hein, je peux pas t’obliger à jouer si ça ne te motive pas. » Je haussai légèrement les épaules, avant d’appuyer ma joue contre sa tête.

Elle me demanda ensuite ce que j’avais prévu de faire de ma journée, et je lui répondis, un sourire tout mignon aux lèvres que j’aurais aimé la passer avec elle. C'était la seule chose que je voulais, en fait, parce que je me sentais juste trop bien avec elle et que voilà, je ne me sentais vraiment moi-même que quand elle était là. Quand elle était pas à mes côtés, ça faisait comme un manque, un vide. Vous voyez le truc ? Oui, je suis sûr que vous voyez. Elle me répondit donc, un sourire aux lèvres et d’une voix douce que ce programme lui allait, et j’étais donc, encore une fois, aux anges. Touuuuuute une journée avec elle, vous vous imaginez ? C’est pas génial, ça ? Des heures et des heures à se parler, à rigoler, à s’amuser… Ca vendait du rêve *-* Le baiser qu’elle m’offrit ensuite fit battre mon cœur à toute vitesse et tout à coup, plein d’idées se bousculèrent dans ma tête. Je devais lui dire. Là, tout de suite, maintenant. Mes sentiments semblaient réciproques. Ou non, peut-être pas. Je me faisais des idées. Mais non, allez Flo’, faut positiver ! Allez, tu peux le faire. Non, tu peux pas. Si, tu peux. Rho, c’était la galère.

J’essayai de remettre toutes ces idées en place, de bien tout mettre en ordre, de positiver et de me lancer. J’allais le faire. Lui raconter ce que je ressentais et attendre sa réaction par la suite. C’est ce que je fis donc : je commençai à parler, d’abord en hésitant un peu, puis ma voix s’affirma et je parlais presque automatiquement, je ne réfléchissais plus trop. Mes pensées que j’avais gardé au plus profond de moi sortaient maintenant, les unes après les autres, devant elle. Je ne pouvais plus faire marche arrière, c’était impossible, elle allait comprendre, maintenant. Dans cinq minutes, je serais peut-être déçu, peut-être pas. Dieu le savait. Je m’arrêtai ensuite de parler, tournant ma tête dans sa direction, lentement. Je finis par baisser les yeux, attendant une réaction de sa part, ne serait-ce qu’une toute petite. Peut-être qu’elle allait s’en aller, peut-être qu’elle était gênée à cause de moi, ou alors je devais vraiment positiver et elle me raconterait des choses qui confirmeraient mes idées positives. A ma plus grande surprise, elle se mit elle aussi à parler, d’une voix très douce. Je relevai les yeux vers elle, plein d’espoir, et l’écoutai parler, attentivement. Ses paroles confirmaient mes pensées. Mes pensées positives. Mon regard se mit à briller et lorsqu’elle referma ses doigts sur les miens, j’étais sûr et certain. Mes sentiments étaient réciproques. Le paradis, voilà ce que c’était. Heaven.

Je la regardai encore quelques secondes, réalisant petit à petit ce qu’il se passait, et très doucement, j’approchai mon visage du sien. Je mis mes mains derrière sa tête, mes pouces doucement posés sur ses joues, puis, mes lèvres effleuraient les siennes. Brièvement, doucement, calmement, mais mon cœur, lui, battait à toute vitesse. J’éloignai un peu mon visage du sien, un petit sourire doux et infiniment heureux aux lèvres, avant de coller mon front au sien et de fermer les yeux pendant quelques secondes.

« T’es parfaite. Tellement parfaite. »

Je posai un autre tendre baiser sur ses lèvres, avant de la prendre contre moi, mes bras autour d’elle, sautant de joie au plus profond de moi-même. Sauf que je me contentai de fermer les yeux et de profiter, restant calmement dans ses bras. Ca y est, je volais.



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Alexandre L. Leroy
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• Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Vide
MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMer 13 Mar 2013 - 23:14


Céleste Ҩ Florent
« Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? »

Mais qu'il était à croquer ce beau brun ! Le voilà qui m'invitait à venir gratter dès que j'en aurais envie, mais qui s'inquiétait que je puisse ne pas vraiment aimer. Non mais qu'il ne s'en fasse pas, j'adorais jouer, et encore plus pour lui. Je lui répondis doucement que c'était un plaisir de jouer, et je tus que lorsque c'était pour lui c'était bien plus agréable. Mais ça, je ne pouvais pas me permettre de le dire. J'avais peur d'éveiller ses soupçons. Je faisais sûrement fausse route, il devait avoir mieux à faire que de s'amouracher d'une fille pommée, sans famille et sans passé. Mais en tout cas, il aimait passer du temps en ma compagnie, puisqu'il me dit espérer passer le restant de la journée à mes côtés. Pour mon plus grand plaisir. Une après-midi complète à exister. Parce qu'avec lui, je ne me sentais jamais banale, il avait toujours un petit mot doux à mon égard qui me rappelait que j'étais unique, comme tout un chacun. Et moi, je me contentais d'être proche de lui, de le taquiner, de le piquer par petites touches, pour ne pas me faire oublier mais tout de même montrer que j'étais là. Le même genre de petites attentions que ce petit kiss qui se baladait entre sa joue et son cou.

Ce n'était qu'une paille, à peine un effleurement sûrement, mais mon corps entier en frémissait presque. J'avais eu du mal à comprendre où je voulais en venir. Mais une chose était désormais sûre. Je l'aimais. Mais je n'étais pas courageuse. Je refusais de prendre le risque d'un aveu qui m'aurait fait le perdre. J'étais incapable d'imaginer ma vie sans sa présence, ne serait-ce qu'en tant qu'ami. Ne plus le voir ? Ne plus pouvoir me permettre de passer mes bras autour de sa nuque pour le saluer ? Autant de choses que je n'imaginais plus. Il n'y avait peut-être que trois semaines qu'on se connaissait, grosso modo, mais j'étais certaine d'une chose : on avait passé assez de temps ensemble pour se connaître. Et cette complicité... Elle n'était ni feinte ni artificielle. Je l'aimais tellement que j'aurais pu m'en contenter, pour peu qu'il soit heureux.Mais non. Ce qu'il me dit me tira un frisson. Chaque mot avait son importance, cruciale, pour moi. Je ne pus m'empêcher de chercher à me rassurer. Je lui fis le même aveu déguisé. Sans me cacher. Et au fur et à mesure de mes paroles, son regard qui m'avait fui me revint, luisant d'un espoir que je ne laisserais pas vain. Je fermais mes doigts sur les siens. Je te donne tout ce que je suis. Il y eut quelques secondes de silence, après ma propre déclaration. Secondes durant lesquelles mon regard luisant mais encore un peu incertain resta posé dans celui de Florent.

Puis, lentement, il avança son visage plus près du mien, posant ses pouces sur mes pommettes. Je passais mes bras autour de sa nuque, me laissant aller, d'apparence si calme. Pourtant, mon cœur claquait trop fort. J'avais peur qu'il ne me lâche. Ce fut une explosion presque douloureuse de bonheur qui intervint lorsque nos lèvres entrèrent en contact. Il était d'une douceur... Qui aurait cru que le parisien au passé douteux aurait un jour pu me faire planer à ce point ? J'étais quelque part sur mon petit nuage. Je ne sais pas si ce baiser eut le même effet pour lui. Mais pour moi c'était une promesse muette d'un long bonheur, pas juste d'une amourette d'adolescents. Non, je voulais avancer dans la vie à ses côtés. Il était trop tôt pour de plans d'avenir, mais dans ma tête ils étaient tout tracés. Nous deux, ensemble, jusqu'au dernier souffle. Ce baiser, cette promesse, ne dura que quelques instants. Trop peu à mon goût. Flo' y mit fin, se reculant très légèrement. Ce n'était pas un changement d'avis, non. Son sourire était la preuve que je n'étais pas la seule que la situation envoyait aux septièmes cieux. J'avais le même, tendre. Son front contre le mien, je le fixais de mon regard pétillant et qui disait à quel point je l'aimais. Il ferma les yeux. Lentement, tout doucement, mes doigts effleurèrent sa nuque avec tendresse. Il me complimenta. Je fronçais le nez.

« Dis pas de bêtises... Je t'aime. »


J'appréciais très peu les compliments, surtout ceux infondés comme là par exemple. Non, je n'étais pas parfaite. Mais je lui avais répondu de ma voix douce et tendre, qu'il entendrait bien souvent désormais. Il posa un second baiser sur ms lèvres, auquel je répondis avec tendresse. J'y fixais toutes mes promesses d'être sienne pour le bonheur à venir. Je me laissais ensuite aller contre lui, un sourire aux lèvres. Mes bras glissèrent de sa nuque pour que l'un se glisse derrière lui – histoire de savoir quoi en faire – et l'autre se posa au niveau de sa clavicule. Mes lèvres trouvèrent délicatement le chemin de son cou. J'y posais un baiser tendre. Il était devenu mon centre de gravité, la seule chose qui me rattachait à cette terre. Il était celui que j'aimais plus que ma vie, tout simplement.
fiche par century sex.
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• Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Vide
MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeJeu 14 Mar 2013 - 21:42

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


J’avais commencé à parler. En hésitant, et sans avoir les idées très claires, mais je parlais quand même. J’étais en mode automatique, je ne réfléchissais plus, de toute façon je ne pouvais plus faire marche arrière, j’avais mis à nu mes sentiments, en prenant des risques, certes, mais ça en valait la peine. Parce que je savais que quelque chose se passait entre nous deux, je n’étais pas sûr à cent pour cent que ce soit de l’amour, mais je l’espérais de tout cœur. Puis, je m’étais arrêté de parler, et j’attendais sa réaction. Mon cœur battait à toute vitesse, j’avais, je l’avoue, un peu peur qu’elle me rejette. Sauf que ce n’est pas ce qu’elle fit, au contraire. Elle se mit à parler et tout comme moi, elle exprima ses sentiments, ce qu’elle pensait au fond d’elle-même. C’était encore mieux que ce que j’avais imaginé jusque là. C’était un vrai rêve, j’étais aux anges, c’était parfait, parfait, parfait ! Vous ne vous imaginez pas à quel point j’avais envie d’aller crier sur tous les doigts combien je l’aimais, cette fille ! De toute façon, je n’aurais jamais assez de mots pour vous le dire, c’est juste pas possible.

Voilà que vint donc notre baiser tout doux, tout léger et très tendre, qui ne dura pas longtemps mais qui était incroyablement magique quand même. On était sûrs tous les deux maintenant : nos sentiments étaient réciproques, bref, on s’aimait. Plus que tout. Un petit sourire heureux aux lèvres, je collai mon front contre le sien, lui disant qu’elle était parfaite. Ses doigts dans ma nuque me firent frissonner de bonheur et mon sourire s’agrandit encore, fallait que je me retienne pour ne pas sauter de joie. Lorsqu’elle me dit qu’elle m’aimait, je lui posai un second baiser tout doux sur les lèvres et la pris dans mes bras, un sourire aux lèvres, comblé de bonheur. Je fondais, tout simplement, j’avais complètement craqué et j’étais tellement amoureux que je n’arrivais même plus à réfléchir à quoi que ce soit. Y’avait que nous, Florent et Céleste, Chevalier et Mongagnant, la petite brune et le grand brun. Elle posa un petit baiser dans mon cou et je le lui rendis avec beaucoup de plaisir.

« Tu sais que grâce à toi, je suis l’homme le plus heureux au monde ? » lui confiais-je d’une voix douce et tendre, avant de continuer : « C’est fou comme je t’aime. »

J’étais sur mon petit nuage, je volais, j’étais incroyablement heureux. Pourtant, je n’étais pas drogué ni rien hein, c’est juste que cette fille, elle comptait tellement à mes yeux et j’étais tellement content qu’elle m’aime en retour et de me retrouver dans ses bras… C’était génialissime comme sentiment. Son prénom lui allait super bien : elle m’emmenait tout droit dans les étoiles rien que par sa présence. J’étais en train de profiter à fond de ce moment magique avec elle, lorsque tout à coup, la sonnerie de mon portable retentit. Je soupirai et posai ma tête sur son épaule, avant de dire, déçu :

« Connard de portable. »

A contre cœur, je me dégageai doucement de ses bras et je pris mon portable en main, avant de sourire légèrement en voyant le nom affiché sur l’écran. Maman. Je ne me fis donc pas prier et décrochai rapidement, avant de lancer d’une voix enthousiaste :

« Salut m’man ! »

Entendre sa voix me faisait vraiment du bien, et même si elle venait de gâcher un super moment, j’étais heureux de l’entendre. Elle me manquait beaucoup, ma mère, son absence me faisait assez mal. Surtout que je n’avais jamais vraiment été séparé d’elle et du coup, ça me faisait assez bizarre. Oui je sais, ça fait gnan-gnan, mais ma famille, je l’aimais plus que tout • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1950736702 Je me mis à discuter un peu avec elle, tout en essayant de parler le moins longtemps possible pour que ma petite chérie ne s’ennuie pas. Je voulus raccrocher, mais maman Chevalier me retint, tout en continuant à me poser des questions. Je ris légèrement, avant de lui dire :

« Si je te dis que je suis avec la plus belle fille du monde, tu me laisses ? » je jetai un regard malicieux à Céleste, un regard plein de tendresse et d’amour et en entendant ma mère rire, mon sourire s’agrandit. Elle me dit qu’elle allait me laisser finalement, et elle s’empressa d’ajouter que surtout, je ne devais pas laisser la plus belle fille du monde filer. Je souris et la saluai, joyeusement. Je raccrochai donc, finalement, et reposai mes yeux sur ma n’amour.

« Hm, dis-moi, on en était où ? » je souris avant de l’attirer à nouveau contre moi et de poser un bisou sur le bout de son nez. Qu’est-ce qu’elle était mignooooooooonne !


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Alexandre L. Leroy
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMar 19 Mar 2013 - 21:53


Céleste Ҩ Florent
« Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? »

Il n'y avait rien qui puisse valoir notre moment à tous les deux. Si l'aveu n'avait pas été facile, si nous avions tous les deux plutôt longuement hésité avant de parler, nos mots avaient lié au fil d'or nos cœurs. Il n'avait fallu qu'un baiser, léger frôlement de nos lèvres, pour poser les fondations de nos années de bonheur à venir. Parce que oui, à la seconde où Florent avait tout concrétisé en nous faisant passer le pas de sa propre initiative quand moi j'hésitais bêtement, j'avais vu défiler devant moi les promesses d'une vie heureuse à deux. Pas un nuage dans mon ciel bleu. Juste lui et moi. Rien que mon beau brun pour moi seule. Était-ce un rêve éveillé ? Cela en avait les couleurs et le goût, vous savez. C'était bien trop beau pour être vrai. Mais j'y croyais. Je ne rêvais pas. J'étais juste ailleurs, un peu comme dans un pays où le bonheur fait loi.

Mes doigts caressaient doucement sa nuque. Je n'aurais jamais cru qu'un jour un geste aussi simple pourrait faire autant briller les yeux de quelqu'un. Je lisais dans les yeux de Florent, mais aussi dans les légers tressaillement que je sentais à quel point ce simple contact pouvait comme l'électrifier. Cette idée m'arracha un sourire taquin. Et je scellais, après notre premier baiser, le lien par des mots. Une petite phrase parfois si anodine qui, ici, portait toute mes promesses d'être à ses côtés tant qu'il le voudrait. Et lui me donna un autre baiser, que j'accueillis avec plaisir et auquel je répondis sans me faire prier. Je sentis alors ses bras se refermer autour de moi et ce fut à mon tour de frémir de bien-être. Là, j'étais complète. Je ne sais pas s'il y a, un jour, eu un garçon qui m'a fait cet effet-là, mais j'étais presque certaine – à 99,999999% quoi – qu'il n'y en aurait jamais d'autre. Pas de cette manière. Pas pour les même raisons.

Lorsque je l'embrassais dans le cou, il s'empressa de me rendre la pareille. Ce contact me fit rire, de mon rire léger et cristallin, si doux, comme le chant d'un petit oiseau, si vous voulez. J'eus aussi une petite mimique, mon sourire ce fit plus petit mais plus intense, si vous préférez et ça me donnait une expression de chaton. Ce qu'il ajouta ensuite me fit rire, tout doucement, très tendrement. Si je lui suffisais pour qu'il soit l'homme le plus heureux du monde, c'était bien qu'il ne devait pas être fort difficile. Non mais c'est vrai quoi ! Qu'est-ce que j'étais, moi ? Trois fois rien, ben voilà ! Je lui souris avant de l'embrasser, toute tendre.

« Mais c'est qu'il t'en faut peu pour être heureux... »


Je l'embrassais de nouveau, un peu plus fougueuse. Bien que du genre très démonstrative de mon affection en général, je trouvais trop niais de lui répéter vingt mille fois en deux minutes que je l'aimais. Déjà de un ce ne serait jamais suffisant. Et de deux je savais que je n'avais pas besoin de me répéter pour que mon petit chéri le sache. Alors du coup voilà. Et puis ce n'était pas désagréable de goûter en silence à ce moment qui restait magique. Car les débuts d'un couple, c'était souvent un grand moment. Et là, c'était juste trop beau. On était sur la même longueurs d'ondes, apparemment. J'étais juste beaucoup trop bien, contre lui. Je m'étais mise à caresser tout doucement sa nuque, en le regardant, tout sourire, les yeux luisants. Mais bien entendu dans ce cas-là il se passe toujours un truc ! Et là pour le coup c'est le portable de Flo' qui sonna. J'étais un peu déçue, à vrai dire. Et lui complètement dépité je crois. Il posa sa tête contre mon épaule. La main que j'avais sur sa nuque glissa doucement sur son visage avant que je ne l'embrasse quand il eut fini de ronchonner.

« Réponds, c'est peut-être important. Je ne bouge pas d'ici..! »


Ben voui hein ! Il s'écarta donc avec un apparent manque de volonté pour le faire. Je le comprenais, je le laissais partir à contrecœur. Mais bon, il n'allait pas loin, il allait revenir. Et en fait quand il attrapa son téléphone, il eut un sourire que m'en fit en avoir un autre bon bah s'il souriait c'était tant mieux ! Il décrocha et répondit avec enthousiasme à... Sa mère. Ah oui... Bon bah j'allais sûrement devoir attendre un petit bout de temps parce qu'on m'avait dit que les mamans pouvaient vite être très envahissantes et posaient des questions sur tout. Qu'est-ce que t'as mangé ce midi, t'as fais quoi de beau ces derniers-temps, t'es en forme, tu fais quoi, t'es avec qui ? Ouais enfin bon, moi je ne connaissais pas.

Mon chéri était beaucoup trop mignon. Non mais c'est vrai quoi ! Je sentais qu'il essayait d'écourter un peu la conversation avec sa mère. Si c'était pour moi c'était trop choupinou ! Mais bon, finalement il rit et sortit un argument de choc pour clore la discussions. La plus belle fille du monde ? Ou ça ? La voyais pas moi ! Tandis qu'il me regardait, je lui fis de nouveau ma petite mimique toute trop mignonne. Finalement il mit joyeusement fin à la conversation et je me levais avec entrain pour me blottir dans ses bras tout de suite. Moi, impatiente ? Non, c'était juste que quand je n'étais pas contre lui, je me sentais mal, comme divisée, il me manquait une part de moi. Je m'empressais donc de me diriger vers lui et il m'attira tout contre lui, idée à laquelle je ne saurais dire non. Je passais mes bras autour de sa taille.

« Hum, je sais plus trop... Tu me mets la tête à l'envers beau brun ! Mais tu devrais arrêter de me complimenter, je vais y prendre goût... »


Mais voilà que je m'y mettais à mon tour, niveau compliments ! Non mais qu'est-ce que vous croyez, vous ? Que j'allais le laisser me complimenter, choisir ses armes pour me faire fondre sans même répliquer ? Et puis bon, excusez-moi mais... Moi j'étais une fille banale que ce soit dans ma personnalité ou mon physique, une toute petite crevette qui n'avait pas grand-chose pour elle alors que lui, lui c'était Apollon quoi. Il était carrément trop canon, trop craquant et moi je crevais pour lui quoi. Lorsqu'il posa un baiser sur mon nez, je le fronçais dans une mimique amusée avant d'embrasser mon charmant chéri. Rah mais bon sang, je l'aimais celui-là, c'était quand même pas possible à ce point-là ! J'avais l'impression de ne rien pouvoir être sans lui, pour le coup. Je finis par poser ma tête contre son torse. J'étais juste à hauteur là, vous voyez ? Le premier qui se moque je lui tape dessus ! N'empêche que j'étais trop bien là...

J'étais amoureuse. C'était nouveau pour moi. Enfin, dans cette vie en tous cas. Mais tout était naturel. De toute manière, depuis la première seconde, tout était simple avec Florent. Il était lui même très simple. Pour moi, ça coulait de source, comme si... J'en sais rien, comme si je l'avais connu toute ma vie. Il y avait des souvenirs enfouis, je le sentais, qui attendaient juste le bon moment pour pointer le bout de leur nez. J'appréhendais un peu de me souvenir, parce que des fois c'était des choses anodines, mais parfois c'était des images plus dures à encaisser et je refusais de gâcher notre moment. Nous n'étions que tous les deux. Je lui murmurais à l'oreille, taquine :

« Et si j'ai plus envie de bouger, on fait quoi, on reste plantés là au milieu ? »


C'était une véritable mise au défi. J'étais bien décidée à l'embêter un peu, mon chéri, quand même, sinon il allait finir par trouver ça louche !
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Louis T. Delmas
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeMer 20 Mar 2013 - 22:13

Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ?
→ Florent et Céleste


Bon alors, qu’est-ce que je vais bien pouvoir vous raconter ? Parce que la RPG’iste de ma petite chérie, là, elle a déjà tout dit et avec ses réponses pires que parfaites, moi ça me décourage ! Sauf que j’adore quand elle fait des réponses comme ça parce que c’est juste trop chou et que ça parle de moi et que Céleste quand elle parle de moi, c’est trop choupinou et ça fait trop plaisir *-* Moi aussi j’veux parler comme ça d’elle, parce que je l’aime plus que tout • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1950736702 Mais je risque de me répéter et puis je veux pas recopier la réponse de la Bloody, donc autant vous dire que c’est chaud patate quoi ! Ah mais en fait, vous avez vu, j’ai déjà 127 mots et j’ai encore rien dit, c’est ça la technique à la Flo’ What a Face

Breeeeeef… ! Commençons au moment où elle effleura ma nuque de ses doigts, peut-être ? Rien qu’avec ce geste, si tendre et si doux, elle arrivait à me faire partir ailleurs, à me faire voler, j’étais sur mon petit nuage et ça se voyait dans mes yeux, qui brillaient comme pas possible. Elle arrivait à me rendre heureux juste par sa présence, juste parce qu’elle était là, à mes côtés, tout près de moi. Je supportais à peine de la voir à plusieurs mètres de moi, alors je ne m’imaginais même pas passer une journée sans elle ! C’était mission impossible selon moi, en même temps je n’avais jamais essayé, mais ce serait de la pure torture donc voilà, valait mieux pas tenter. Son sourire était la chose la plus magique au monde, c’était quelque chose de précieux, de léger, de magnifique. Moi, je commençais à avoir mal aux joues tellement je souriais en la regardant. Beh oui, une banane qui part d’une oreille rejoindre l’autre, c’était fatiguant, mais mon sourire il ne s’effacerait plus, maintenant ! J’étais juste trop bien avec elle, je me sentais flotter et puis c’est comme si jamais encore je n’allais éprouver de la tristesse dans ma vie. J’étais au top, et tout ça grâce à elle. J’espérais tellement qu’elle pensait la même chose de moi, qu’elle ressentait la même chose, parce que moi, je ne cherchais qu’une chose : c’est qu’elle soit comblée de bonheur grâce à moi. Tout ce qu’elle me donnait, je voulais le lui rendre au centuple, voir même beaucoup plus et j’allais tout faire pour que ce soit le cas.

Je la pris donc dans mes bras, doucement, d’un geste tendre qui voulait tout dire. Elle était n’a moi, rien que n’a moi. J’étais heureux. Je la voulais. Je l’aimais. Je voulais passer ma vie avec elle. Jusqu’au bout. Et plus loin encore. Je voulais chanter pour elle. Je voulais faire tout ce qu’elle voulait que je fasse. Je donnais ma vie pour elle. Je lui confiais que j’étais l’homme le plus heureux du monde, et elle me répondit qu’il m’en fallait peu pour être heureux. Je la serrai encore un peu plus fort dans mes bras, avant de lui dire à mon tour :

« Il me faut juste toi. Ca me suffit largement, et je suis aussi l’homme le plus chanceux de la terre, parce que je t’ai rien que pour moi. »

Elle m’embrassa une nouvelle fois, plus fougueusement et je répondis avec plaisir à son baiser, avec beaucoup de plaisir même. On n’avait pas besoin de beaucoup de mots pour se comprendre, le silence et les gestes suffisaient amplement. On pensait la même chose, on ressentait la même chose, on se ressemblait fort tout court. Je retrouvais une partie de moi-même dans la petite brune et peut-être que c’est justement ça qui m’attirait autant. Non, non, ce n’était pas ça, en fait. C’est le fait qu’elle soit elle-même malgré tout qui m’enchantait. Elle était simple, sans histoires et pour une fois, je n’avais pas besoin d’un manuel de mille pages pour comprendre une fille. Parce que bon hein, j’avais pas beaucoup d’expérience et puis elles pensaient toujours le contraire de ce qu’elles disaient, autant vous dire que c’était compliqué • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1990738599 Mais pas avec elle ! Mais bon, toute chose a une fin et dans notre cas, c’est mon portable qui brisa le doux silence qui s’était installé. La sonnerie retentit et c’est donc en ronchonnant et à contre cœur que je m’éloignai un peu de Céleste, qui me dit de répondre parce que c’était peut-être important, et qu’elle ne bougerait pas d’ici. Un petit sourire aux lèvres, je lui répondis rapidement d’une voix douce :

« J’espère bien ! » avant de décrocher le téléphone.

Ah, les mamans ! Elles avaient le don de parler de tout et de n’importe quoi, sans laisser le temps à leurs enfants de s’expliquer ou de leur dire qu’ils n’avaient pas le temps et qu’ils rappelleraient après ! What a Face Enfin bon, je ne voulais pas raccrocher tout de suite, à vrai dire, parce que ma mère, je l’adorais quand même hein. J’étais très proche d’elle malgré la distance entre nous, et on se faisait souvent des conversations Skype, aussi. Pendant ces conversations-là, y’avait aussi ma sœur et mon père d’habitude, c’étaient des supers moments. Je retournerais à Paris dans pas longtemps pour aller les revoir, ça c’était sûr. Mais juste pour les voir, eux, pas pour revisiter les petites ruelles sombres. Non, ça, c’était une partie de ma vie qui était entièrement passée, over, finish. Je n’en voulais plus, de ça, j’essayais d’oublier tous ces souvenirs, même les bons. Après une petite discussion avec ma mère, je tentai de raccrocher, mais elle me retint rapidement. Je lui dis ensuite que j’étais avec la plus belle fille du monde et là, heureusement, elle raccrocha plutôt rapidement. Vous voyez pourquoi je l’aimais ? Elle me laissait vivre ma vie, être moi, elle me faisait confiance malgré les fréquentations pas toujours positives que j’avais eues. C’était parfait, ça, c’était incroyablement génial. Je remis mon portable dans ma poche, avant de me reconcentrer sur ma petite chérie, qui n’avait, en effet, pas bougé. Je l’attirai contre moi en lui demandant où on en était. Elle passa ses bras autour de ma taille et me répondit qu’elle ne savait plus trop, que je lui mettais la tête à l’envers mais que je devrais arrêter de la complimenter puisqu’elle y prendrait goût.

« Toi aussi tu me mets la tête à l’envers, belle brune. T’es pire que de la drogue, je suis accro à toi, c’est grave ? En tout cas, ce que je sais, c’est que je vais pas en mourir… »

Je l’embrassai une nouvelle fois, un petit sourire heureux aux lèvres. Elle posa sa tête contre mon torse et je posai mon menton dessus, caressant doucement ses cheveux. Elle me demanda ensuite en me murmurant à l’oreille ce qu’on faisait si elle n’avait plus envie de bouger de là. D’une voix faussement ennuyée, je lui dis :

« Moi non plus j’ai plus envie de bouger, je suis beaucoup trop bien là mais … mon ventre me dit qu’il a faim. Et quand mon ventre dit qu’il a faim, il faut le nourrir, sinon il devient chiant et il pique une crise. »

Mais qu’est-ce que je sortais moi, là, encore ? • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 1990738599 C’était n’iiimporte quoi, sauf que j’avais vraiment faim, en fait. Bah oui, pourquoi j’avais pas mangé, moi ? J’étais tellement pressé de revoir ma n’amour que du coup voilà, j’en avais oublié mon ami l’estomac. Je posai un doux baiser sur le front de la petite brune, avant de doucement me dégager de ses bras et de la prendre par la main, pour finalement l’entraîner dans la cuisine. J’ouvris le frigidaire et lui dis :

« Alors, qu’est-ce que tu veux manger ? » J’observai un peu tout ce qu’il y avait, avant de continuer sur un ton plein d’humour : « Eh, tu sais quoi ? Je sais te cuire un œuf ! Faut que j’te montre ça, parce que j’en suis trop fier. »

Après, c’était à elle de choisir hein, peut-être qu’elle en avait pas envie • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste 337664734 Mais j’étais juste trop content de pouvoir lui montrer mes talents de cuisinier (hum) alors fallait qu’elle en profite ! Parce que bon, à part cuire un œuf, des pâtes et couper des carottes, j’étais pas doué du tout, en fait.



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Alexandre L. Leroy
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MessageSujet: Re: • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste   • Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? - Florent et Céleste Icon_minitimeDim 24 Mar 2013 - 21:15


Céleste Ҩ Florent
« Ce qui se ressemble s'assemble, vous dites ? »

Impossible de rivaliser niveau blabla avec la Choupi et le Flo' d'amour. Non mais sérieusement quoi ! Cent-vingt-sept mots de papotage pour démarrer, il faut le faire ! Si je fais un quatre ça sera beau. Mouais, bon, la suite non ? Parce que moi c'est trop nul ! Je reprends. Si, lorsque j'effleurais sa nuque lui frémissait de plaisir, c'était un même plaisir pour moi de sentir sa peau sous mes doigts, parce que celui-là, je l'aimais, mais alors plus que tout quoi ! C'était juste un véritable plaisir de le sentir, lui, contre moi, pour simplement. J'avais l'impression que, bon sang, j'allais pouvoir en mourir ! Tout ce que je voulais, c'était passer jusqu'à ma dernière secondes à ses côtés. Voir ses yeux qui brillaient, c'était juste la médaille d'or pour moi. Son sourire était juste trop grand. Des fossettes se creusaient au coin de ses joues à force de sourire tant. Il allait choper une crampe mon pauvre chéri... C'était peut-être égoïste mais... J'aimais tellement son sourire que je ne voulais pas le voir disparaître, à aucun prix.

Et qu'il était tendre ! Mon chéri c'était la douceur incarnée. Mon chéri il était tellement parfait... Sa façon de me prendre dans ses bras, tout doucement, si tendrement... J'avais l'impression d'être importante pour lui, j'avais l'impression d'exister et j'étais tout simplement comblée. C'est pourquoi, avec toute cette douceur naturelle, je continuais d'effleurer avec douceur sa nuque, pour continuer de lui montrer à quel point je l'aimais. Mon corps entier vibrait au contact du sien. J'étais sienne tout comme il était mien. Je l'aimais tout comme il m'aimait. Je l'acceptais, tout comme il m'acceptait. J'étais la fille la plus heureuse du monde, à cette seconde même. Sa voix m'emmenait ailleurs. Mes yeux brillaient tandis que je ne quittais pas son beau visage des yeux. Il me serra un peu plus fort et je ris, très légèrement, très doucement, avant que mes lèvres ne coulent à nouveau dans son cou avec tendresse mais un tantinet de taquinerie tout de même. Ce qu'il me dit alors... C'était trop mignon et je lui répondis tout, tout doucement, vraiment.

« Dans cette histoire, c'est moi la plus chanceuse. Parce que tu me donnes enfin une chance d'exister dans ce monde. »


Non mais vraiment. Là j'avais l'impression d'être une personne à part entière. J'avais beau ne pas avoir de passé, là, j'avais un vrai avenir tout tracé devant, j'étais sûre d'avoir la force d'avancer. Il serait ma force, il serait mon appui. Il serait tout ce dont j'aurais besoin, sans exception, parce qu'il était un mec juste exceptionnel. Mon mec à moi. Tout ce que je mettais dans ce baiser, c'était tout ce que j'avais à lui dire. Les mots étaient bien inutiles. Et, tout comme je m'étais surprise à l'espérer, mon beau brun fut à la réponse avec autant de plaisir que moi, visiblement. Mon sourire rieur, mes yeux luisants, tout laissait entrevoir à quel point il me faisait du bien. C'est dingue, ça faisait quoi, même pas une demi-heure que nos aveux à demi-mots nous avaient porté là ? Et pourtant déjà il était tout. Moi, à côté, je n'étais rien, j'étais négligeable. Lui c'était juste la perfection et je l'aimais pour ce qu'il était, même en connaissant son passé, même en ayant rencontré une de ses connaissances du passé que, je l'avoue, je n'appréciais pas. Il était celui qu'il était, je le savais, je l'avais choisi en connaissance de cause, et je ne le regrettais pas, je ne le regretterais jamais.

Alors mon bel amour espérait bien que je ne bougerais pas ? Un sourire mutin aux lèvres, une idée me passa pas l'esprit, mais, vraiment... Non, je n'avais pas vraiment envie de m'éclipser ne serait-ce qu'une seconde, pas aujourd'hui en tous cas. J'attendis donc patiemment qu'il finisse sa conversation avant de me trouver de nouveau contre lui, tout sourire. Il osait encore me complimenter ? J'allais y prendre goût, qu'il se méfie... Ce qu'il me répondit alors me fit rire doucement, avec un grand sourire, mais aussi une légère teinte rosée sur mes joues, allez savoir pourquoi. Je répondis à son petit baiser tout tendre, tout aussi doucement, avant de lui répondre de ma voix pour l'occasion taquine :

« J'aime assez l'idée que tu ne puisses pas te passer de moi... Comme ça je ne suis pas la seule à ne pas pouvoir me passer de toi. »


Je me posais alors contre lui, toute douce. Je sentis sa tête sur la mienne, ses doigts sur mes cheveux. Je serrais un peu plus fort sa taille, et là, j'étais juste vraiment trop bien. C'est qu'il était confortable le petit chéri en plus ! Il n'était pas fort épais et pas spécialement musclé, OK, mais au moins il n'était pas raide de partout. Nah. Il était très bien comme il était mon amour. Voilà, moi je ne lui trouvais que des qualités. Et toc dans votre tête ! Par contre avec ce qui suivit... Je ne pus me retenir de rire en me redressant tout doucement pour pouvoir le regarder dans les yeux, avec ce rire léger, mélodieux qui n'était que mien. Je posais mon front contre le sien, le regard amusé, un sourire tendre aux lèvres. Je ne pus m'empêcher de le taquiner.

« Tu sais, toi, je t'aime, fort, très fort, beaucoup, peut-être trop... Mais franchement, des fois, tu me tues. Médecine, c'est ça ? On a du souci à se faire ou pas ? »


Et là, il posa un baiser sur mon front tandis que je riais légèrement, loin d'être moqueuse, à peine plus que taquine. Je te protège. Voilà une promesse qui m'assura de ce qui nous unissait. Étrange non, l'importance que je pouvais accorder à des choses aussi banales que des baisers ? Je tenais ça de je ne savais pas où mais... C'était gravé là, dans ma mémoire. Bref. Il se dégagea de mon étreinte si légère avant de prendre ma main et, avec un sourire doux et tendre, je serais mes doigts autour des siens avant de l'accompagner avec bonne humeur. Il se planta devant le frigo pour regarder ce qu'il y avait dedans et je me collais contre lui en regardant avec lui, sans rien ajouter. Non mais j'allais le laisser un peu se débrouiller quand même. Après, bon, si jamais il avait besoin de moi, pourquoi pas l'aider, mais pour le moment je le laissais se débrouiller. Nah. Il me proposa de me faire un œuf et je lui souris en fronçant le nez, amusée. Ma main gauche effleura son visage, doucement.

« Fais-moi donc goûter ça ! Tu sais faire les pâtes qui vont avec ? Je te regarde. »


Et oui, vous avez bien entendu, je regarde ! Bon, OK, j'aide si besoin est, c'est clair ça. Mais je préférais le laisser faire. Après tout il avait l'air fier de me montrer ce qu'il savait faire. Un peu comme un grand gamin qu'il était encore, mon bel amant. Je passais néanmoins mes bras autour de son cou, pour lui voler un baiser. Enfin, j'attendais plutôt qu'il se baisse un peu surtout, parce que j'étais vraiment du genre très petite crevette. Tout ce qui est petit est mignon ! Nah ! Ou comment finir n'importe comment une réponse en une seule leçon quoi...


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